Le passage à l'heure d'hiver
Datte: 06/01/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
hplusag,
couple,
cocus,
Collègues / Travail
fête,
BDSM / Fétichisme
échange,
entrecoup,
extraconj,
... il sera de nouveau deux heures, je viendrai reprendre ma place auprès de toi et Virginie ira retrouver son Sébastien, la parenthèse sera refermée, et voilà tout.— Ce qui se sera passé pendant cette heure-là…— Cela comptera pas, puisque cette heure n’existe pas. Sébastien, ne pince pas trop fort, les pointes de mes seins sont très sensibles. Christophe se lève brusquement, emportant la couverture. — Mais je rêve ! Tu es folle, Nathalie ! Nathalie, je croyais que tu m’aimais, et tu vas coucher avec Sébastien !— C’est bien plus honnête que si je te cocufiais en cachette. Arrête de prendre cet air de chien battu, ou Virginie ne voudra pas de toi. N’oublie pas que tu ne disposes que d’une heure. Allez, Sébastien, suis-moi ! Me voilà encombrée d’un cocu pas content, qui ne comprend rien à ce qui lui arrive : sa petite femme si fidèle, la mère de ses enfants, l’amour de sa vie part s’enfermer avec mon mec dans leur chambre d’amis. Pour une heure, sous prétexte que c’est l’heure de trop ! Il reste planté là, debout, sa couverture dans les bras. Il donnerait gros pour qu’ils fassent soudain demi-tour, en riant très fort : — On t’a bien fait marcher, hein ! Eh bien, c’est ce qu’ils font, et nous nous gaussons tous de la bonne, de l’excellente plaisanterie. Je passe une nuit délicieuse dans les bras de mon compagnon, pendant que Nathalie et Sébastien mettent en chantier un troisième enfant. Oui, ce serait une fin possible. Mais pas de danger, ils y tiennent trop, à baiser ensemble, ...
... ils ne se retournent pas, ils courent, main dans la main, vers la chambre d’amis. — Comme tu as confisqué la couverture, Christophe, je suggère que nous allions au moins dans la cuisine, à défaut de la chambre puisque tu sembles avoir fait voeu de chasteté. Il y prend une chaise et regarde le feu, pensif. Mais quel nigaud, ce type ! Je suis derrière lui, debout. — Puisque tu ne veux pas me regarder, Christophe, je vais te dire ce que je fais. Je me débarrasse de ma petite laine, je la pose sur la table de vieux chêne. Je sors de ma longue jupe blanche le bas de mon chemisier, je l’ouvre sans trop me presser. Je l’enlève. Mon soutien-gorge est rouge, je ne l’ôte pas encore. Je déboutonne ma jupe. Comme tu l’as remarqué quand je dansais, les boutons du bas ont déjà sauté, on voyait mes genoux quand je tournais sur moi-même pour faire tourner les têtes, mes genoux et un peu mes cuisses, beaucoup peut-être, parfois. Rappelle-toi, tu en étais jaloux. Il ne me reste que deux boutons à défaire. Un. Deux. Elle tient encore par la ceinture, mais elle est entrebâillée sur mon petit slip, rouge lui aussi. Voilà, je défais la ceinture, la jupe tombe à mes pieds. Je n’enlève pas encore mes chaussures blanches à talons. Je vais te tourner le dos, comme il se doit, pour dégrafer mon soutien-gorge… Voilà qui est fait, je le jette sur la table. Les mains en coquilles sur mes seins dont les pointes me font presque mal, je me retourne. J’écarte les bras. Tu ne te précipites pas contre moi, qui ...