Appelez-moi Zorro
Datte: 07/01/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
poilu(e)s,
train,
amour,
cérébral,
Oral
pénétratio,
historique,
pastiche,
policier,
aventure,
sf,
fantastiqu,
sorcelleri,
... attrapé aujourd’hui. Le chef ouvrit la portière du véhicule. Pelotonnée sur un siège, une jeune femme tremblait et murmurait. — Mon Dieu protégez moi, ne me faites pas mal, pitié.— Regardez ce que j’avions trouvé là, s’exclama le rustre en faisant sortir la jolie brune, la tirant sans douceur par le bras. Les autres coupe-jarrets la regardaient avec convoitise, presque la bave aux lèvres. Petite et potelée, de beaux yeux noisette affolés, sa robe de brocart vert chiffonnée au large décolleté laissait admirer sa gorge blanche, la naissance de ses seins et le doux sillon séparant ses deux globes. Ses pieds menus étaient passés dans des chaussures vernies ornées de boucles d’argent. — Vous autres, fouillez-moi ça, commanda la brute à ses sbires, trouvez l’or et les bijoux. En poussant des cris de joie, ils jetèrent au sol des malles dont ils sortirent d’autres robes de dentelle, de satin, une bourse lestée quelques dizaines de pièces d’or, et un petit coffret contenant un collier de perles, une émeraude sertie sur une bague ainsi qu’une parure de diamants. — Où allez-vous, ma belle, avec ces joyaux et toutes ces robes ? La jeune femme se redressa de toute sa taille, fière et combative. — Je viens du couvent des Oiselles, je vais de ce pas au château de Vauquonery pour y épouser le Duc. Mon père, le Baron René de Sessandre s’est engagé auprès de lui pour notre union.— Nous n’allions pas te laisser rejoindre ce vieux croûton sans te faire connaître les joies de ...
... l’accouplement. Les bonnes sœurs du couvent n’ont pas dû t’apprendre grand-chose à ce sujet. Mes vieilles crapules, j’nous avions trouvé une pucelle ! Nous allons trousser un’belle oie blanche. Les truands de hurler, crier de joie et jeter en l’air leurs chapeaux avachis. Affolée, la jeune femme tenta de se débattre, d’échapper à ses ravisseurs, en vain. Ils lui tenaient fermement les bras. Elle hurlait de terreur et de rage mêlées. L’un des ruffians dégaina un coutelas et trancha les lacets de la robe, de la nuque au bas du dos. L’autre lui agrippa le haut de son corsage et tira, arrachant le tout, bustier et jupons. Hormis ses bas et ses chaussures, elle était nue sous son vêtement. Elle cria, tenta de cacher sa poitrine menue de ses mains, croisa les jambes pour dérober aux regards salaces ses parties intimes. Ils mirent fin à sa tentative de camouflage en lui saisissant et écartant les bras, la secouant pour l’obliger à dévoiler son giron, à montrer ses petits seins frémissants. — Tudieu, le beau bosquet que voilà, rugit le reître, en désignant la toison fournie. De quoi me garder la queue et les bourses au chaud cet hiver. Regardez-moi ces belles framboises, disait-il en tirant sur les tétons sensibles. Tous les autres de s’esclaffer. Il y avait là des borgnes, des édentés, des balafrés, des estropiés, tous plus hideux et crasseux les uns que les autres. Des mains tripotaient la donzelle, palpaient les fesses et tentaient même de s’insinuer dans ses pertuis secrets. Holà, marauds, ...