Mon mari sélectionne mes futurs amants (fiction écrite en 01.1998).
Datte: 08/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... avons vu que depuis la salle de bain dont la porte resterait entrouverte, Renaud pourrait tout observer discrètement dans le grand miroir qui se trouvait au dessus du lit. Vers 15 heures Antoine s’est annoncé à la réception puis il est monté jusqu’à la chambre. Mon mari s’est dissimulé dans la salle de bain comme convenu et je suis allée ouvrir la porte. Je n’avais sur moi que le soutien gorge à demi bonnets qui présentaient mes seins en forme de poire, un string assorti et le serre taille qui maintenait mes bas et une nuisette plutôt transparente. Chaussée d’escarpins à très hauts talon, je me trouvais particulièrement séduisante. Antoine portait un luxueux survêtement de sport et un sweet-shirt d’un blanc immaculé qui faisait ressortir son teint hâlé. Nous avions bien choisi ce premier amant. Après un peu de bavardage pour faire connaissance, nous sommes rapidement passés aux choses sérieuses. J’ai fait glisser ma nuisette et j’ôté ses vêtements. Quand il n’a plus eu que son boxer, je me suis agenouillée devant lui pour le faire descendre. Une belle bosse y était emprisonnée et son sexe a jailli devant mes lèvres dans une invitation évidente : il bandait déjà à moitié. Je l’ai embouché aussitôt pour une belle fellation baveuse tout en triturant ses bourses qui étaient bien dures. J’adore sucer ! Là j’étais servie : une belle queue et pas de poils autour ! Je ne voulais pas qu’il parte dans ma bouche, ce n’était pas ce que je cherchais. Aussi, après quelques temps, je me ...
... suis relevée. Je me suis mise face à lui non sans jeter un coup d’œil dans le miroir. Mon mari voyait tout. J’ai passé mes mains derrière mon dos et j’ai dégrafé l’attache de mon soutien gorge, libérant mes seins d’un seul coup : un 90 C dont je suis très fière et qui a littéralement sauté au visage de mon futur amant. Pour le coup, il s’est enhardi, prenant un téton entre ses doigts pour le faire rouler, il a pris l’autre dans la bouche pour le mordiller. Waouh, que c’était bon. Immédiatement j’ai senti ma fente s’humidifier. J’étais prête à ses assauts. En l’entrainant sur moi, je me suis allongée en travers du lit. Comme par miracle, son sexe est entré en moi dans le même mouvement, percutant le fond de mon vagin d’une seule traite. Habille le mec ! Il avait su contourner la bande étroite du string sans y toucher. Antoine a entrepris aussitôt de me besogner, tout d’abord lentement puis, au fur et à mesure que mon plaisir montait, il a accéléré ses mouvements de va-et-vient avant de lâcher quelques belles giclées de sperme au moment où mon plaisir arrivait avec une violence que je n’avais plus connue depuis l’accident de Renaud. Nous avions bien choisi pour mon premier partenaire. Bel athlète et bon baiseur endurant, j’allais en tirer le maximum de jouissances. Il était toujours fiché au plus profond de moi et, s’il m’avait copieusement arrosé le fond du vagin, il ne débandait pas. Il m’embrassait dans le cou, me léchait le lobe de l’oreille droite en me disant : - Tu es bonne ...