1. Mon mari sélectionne mes futurs amants (fiction écrite en 01.1998).


    Datte: 08/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... ! Je vais t’en mettre plein la chatte ! - Oh oui ! Vas-y ! C’est si bon ! Je suis là pour çà ! Je ne demandais que cela, être copieusement baisée et remplie de foutre. Je ne craignais rien car je n’avais jamais cessé de prendre la pilule, mes futurs amants pouvaient me remplir autant qu’ils le voudraient de leur foutre dès l’instant où leur test HIV était négatif. Toujours en moi, Antoine s’est redressé, il a fait passer mes jambes sur ses épaules et amenant mon bassin à la hauteur de son pubis, il a repris les mouvements alternatifs dans ma chatte complètement inondée par ma cyprine qui coulait abondamment et le foutre qu’il y avait déjà craché : - Oh oui ! C’est bon comme çà ! Défonce-moi la chatte. - T’inquiète pas poulette, tu vas être servie ! Il m’a besogné longuement, lentement, faisant monter mon plaisir pour le laisser refluer ensuite et le faire remonter ainsi plusieurs fois. Je sentais ses couilles qui venaient battre contre mon périnée. C’était bon. Levant les yeux vers le miroir, j’apercevais Renaud dans l’entrebâillement de la porte de la salle de bain. Il me souriait tendrement, aucune trace de jalousie dans son regard, juste une infinie tendresse. J’avais failli jouir au moins quatre fois quand Antoine a accéléré ses mouvements quand il a senti que je n’en pouvais plus d’attendre. Il m’a éperonnée trois fois plus sèchement avant de se répandre une nouvelle fois dans ma chatte puis sur mon ventre où il a déposé un dernier jet qui a dépassé mon nombril. C’est ...
    ... en voyant son sperme jaillir ainsi que je suis partie à mon tour. Nous avons basculé sur le côté en restant enlacés. J’étais bien. J’avais été baisée comme une reine et avec la complicité de mon mari chéri, j’avais retrouvé les belles jouissances d’une femme chaude, amoureuse ardente, toujours partante pour une bonne séance de galipettes. Antoine continuait de me câliner doucement en me disant des petits mots doux (pas des mots d’amour, ils n’avaient pas leur place ici), mais en me complimentant sur ma plastique, mes sous vêtement affriolants, etc. Lorsque j’ai compris qu’il voulait repartir pour une nouvelle séance, je lui ai dit doucement : - Ca suffit pour aujourd’hui ! Tu m’as bien fait jouir ! C’était bon mais c’est assez ! - D’accord, si tu en veux encore tu sais comment me joindre ! Il s’est rhabillé et nous a quittés rapidement. Renaud est sorti de la salle de bain et il m’a enlacé tendrement en me disant combien il était heureux d’avoir pu me procurer par personne interposée deux aussi belles jouissances. Avant l’arrivée de Benoit, je voulais me reposer un peu, faire un brin de toilette et me remaquiller. Bref, une pause était la bienvenue d’autant que j’avais une petite faim. Faire l’amour, çà ouvre parfois l’appétit. Renaud a commandé un souper léger que le service d’étage nous a amené rapidement. Il avait précisé que tout devrait être débarrassé avant 20 heures. Benoit n’était pas très ponctuel. Il n’est arrivé que vers 21 heures en roulant des mécaniques comme un ...
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