1. Mon mari sélectionne mes futurs amants (fiction écrite en 01.1998).


    Datte: 08/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... retrouvé toute sa raideur. Benoit s’est allongé sur le dos, la bite dressée comme un mat : - C’est toi qui va te baisser ! Viens t’empaler sur ma bite face à moi que je triture tes mamelles ! Toujours ce langage dur, à la limite ordurier mais viril. Il me faisait mouiller comme jamais. Je me suis exécutée rapidement et je me suis empalée sur ce sceptre impérieux. Benoit a saisi mes tétons entre ses doigts et il levait et abaissait la pointe de mes seins. Je devais suivre le rythme. Quand il entrainait mes seins vers le haut, je devais monter sur sa tige et redescendre en même temps que lui. Avec un tel traitement, j’avais l’impression d’être une cavale en furie et je me suis déchainée sur ce pal. Je ne tenais plus compte du rythme imposé par Benoit et je suis partie rapidement. Lui aussi d’ailleurs. Au moment où je jouissais, il s’est lâché. Je me suis affalée sur son torse pour reprendre mon souffle, les seins pressés contre les siens : - Alors, tu en veux encore ? J’ai de la réserve. Je n’ai pas baisé de toute la semaine pour avoir les couilles pleines. - Oh oui, mais laisse moi souffler un peu ! Tu pourras me faire ce que tu veux. Nous sommes restés enlacés ainsi plus d’une demi-heure avant que Benoit ne me fasse basculer sur le côté puis sur le dos. Il m’a fait replier les jambes en me tenant à la pliure des genoux puis d’une main, il est entré dans ma chatte restée entrouverte. Il en est ressorti aussitôt les doigts tout englués de nos sécrétions et il a commencé à me ...
    ... chatouiller l’anneau plissé de mon cul, introduisant un doigt puis deux pour les faire coulisser et ouvrir le sphincter. Aussitôt, comprenant ce qu’il avait en tête, je lui dis : - Prends le tube de gel dans la table de nuit, j’avais prévu cette éventualité. - Tu es vraiment une belle catin, prévoir que j’allais t’enculer… - Oui… je n’y étais guère habituée… mais c’est tellement bon ! Benoit a introduit une belle quantité de gel dans mon cul et il a approché son gland mafflu de ma rondelle. Bien que j’apprécie cette pénétration, Renaud ne m’avait pas souvent sodomisée car il me savait étroite. Je savais que pour avoir moins mal (surtout avec une bite comme celle de Benoit), je devais pousser pour distendre l’anneau en même temps que le sexe male entrerait. De la même manière que lorsqu’il me baisait, dès qu’il a senti que mon sphincter acceptait la dimension de sa bite, Benoit m’a sodomisée à longs traits. Mes jambes posées sur ses épaules où il les maintenait, il allait et venait dans mon fourreau étroit en veillant à ne pas sortir complètement avant de replonger au fond de mon cul. Waouh ! Que c’était bon ! J’appréciais le choix que nous avions fait : deux amants différents mais qui me comblaient au-delà de ce que j’aurais espéré. Nous avons pris un pied terrible tous les deux. Quelle jouissance partagée ! Benoit avait utilisé mes trois orifices pour sa satisfaction et la mienne. Quand nous nous sommes désunis, je l’ai remercié et je l’ai congédié gentiment. Là, il m’a avoué ...
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