1. Fiction. La saga de l'ascenseur. Partie 1. Le cadre et l'intérimaire.


    Datte: 09/01/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... du genou et d’un chemisier en soie rouge vif assorti à ses escarpins. C’est rare que je dévisage ainsi une personne, qu’elle fasse partie du personnel de la boîte ou pas. Là, j’étais littéralement subjugué par le charme tranquille de cette jeune femme. Quand j’ai relevé la tête après avoir relu rapidement le travail qu’Alice venait de faire, j’ai vu qu’elle avait pali et qu’elle se tordait discrètement les doigts. Elle semblait avoir perdu sa belle assurance. Je continuais à la regarder fixement. Elle passait alternativement de la pâleur à la rougeur et semblait trembler. Je devinais que pour me rendre le travail dans les temps, elle avait du sauter son repas et j’avais peur qu’elle ne fasse un malaise. Je me suis levé, j’ai contourné mon bureau pour venir près d’Alice et lui demander : • Vous vous sentez bien ? Que se passe-t’il ? Dans un souffle elle m’a répondu qu’elle allait bien. Je lui pris la main : elle était glacée. J’ai pris la seconde et je les ai emprisonnées dans mes grandes mains : • Laissez vous faire, je vais réchauffer vos mains. Au bout de quelques minutes, son tremblement a cessé et ses mains étaient désormais un peu plus chaudes. Elle me dit dans un souffle : • Merci ! Avez-vous encore besoin de moi ? Sur ma réponse négative, Alice a quitté le bureau. J’allai jeter un coup d’œil par la fenêtre pour calmer mon trouble et laisser retomber un début d’érection. Pour soulager un peu mon assistante, j’ai confié plusieurs fois à Alice des travaux de ...
    ... dactylographie. Prétexte me direz-vous ? Peut-être… mais j’appréciais son travail, net, sans aucune faute, présenté avec rigueur. Cela me plaisait vraiment, même si je dois avouer que pouvoir regarder ses courbes et fantasmer à loisirs n’était pas pour me déplaire. Après la scène du premier jour, j’ai l’impression qu’une certaine complicité s’est établie entre nous. Nous avons fait connaissance. Elle m’a expliqué que pour suivre mon copain Tony qui avait été embauché dans une société basée au sud de Paris, elle avait du démissionner de son emploi de secrétaire de direction à Bayonne. Je ne m’étonnais plus de sa classe. Désormais, lorsque je lui dictais quelque chose, je ne restais plus figé derrière mon bureau. Je marchais en long et en large soit devant la fenêtre soit derrière elle. Là, je pouvais l’épier tout à mon aise. Je regardais son cou gracile, sa nuque toujours cachée par ses cheveux, ses fesses aux délicieuses rondeurs. Un jour, elle était habillée d’un tailleur pantalon. Alors que j’étais derrière elle légèrement sur sa droite, mon regard a plongé dans l’entrebâillement de la veste. Elle ne portait pas de chemisier mais j’apercevais une bande de dentelle noire et la rondeur d’un sein libre de toute entrave. Quelle vue ! Je ne vous dis pas quelle réaction s’est passée entre mes jambes ! Je me suis mis à rêver ! A rêver que je prenais Alice dans mes bras, que je me penchais pour prendre sa bouche charnue, petite mais aux formes délicieusement excitantes, que je la collais contre ...
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