Fiction. La saga de l'ascenseur. Partie 1. Le cadre et l'intérimaire.
Datte: 09/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... mon torse, pressant mon ventre contre le sien pour lui faire sentir mon désir … Je l’imaginais se pâmant dans mes bras et répondant à mes baisers en ondulant contre moi pour mieux ressentir le membre raide qui se dressait, impérieux dans mon pantalon. Je nous imaginais dégrafant mutuellement nos pantalons, et moi, la guidant pour qu’elle allonge son buste sur le bureau avant que je la prenne avec un mélange de rudesse et de douceur. Le parfum de son corps, naturel à l’entrejambe se répandait dans l’air et allumait en moi une envie presque animale de la prendre, oui de la prendre sans me soucier des collègues qui pourraient arriver d’un moment à l’autre, poussant la porte d’entrée qui donne sur le couloir. J’imaginais la chatte d’Alice comme un petit abricot, à la peau douce, rasée, toute trempée de fluides salés invitant à la dégustation. Son sexe mouillé et chaud emprisonnait ma bite qui allait et venait dedans. Quand elle venait dans mon bureau, je voyais bien les regards qu’elle jetait sur mon entrejambe. C’étaient des regards indiscrets mais sans l’être vraiment. Sa curiosité naïve l’emportait sur son éducation et ses manières discrètes que j’avais tant appréciées depuis le premier jour. Et moi je me laissais explorer, faisant mine de rien, portant mon regard ailleurs pour qu’elle puisse deviner entre mes cuisses les érections naissantes qu’elle provoquait avec son corps et son attitude voyeuse. Alice avait surement compris qu’elle me faisait de l’effet. Oui, elle me ...
... regardait droit dans les yeux en laissant apercevoir ses dents étincelantes entre ses lèvres entrouvertes dans un sourire ensorceleur. Elle était toujours habillée avec beaucoup d’élégance discrète mais cette coquine, lorsqu’elle entrait dans mon bureau, dégrafait un bouton de sa veste et de son chemisier. Elle avait remarqué que dès que je le pouvais, je plongeais mon regard dans son décolleté pour chercher à voir ses seins que je devinais mignons à croquer. J’avais la tête complètement prise par cette fille. Chaque fois qu’elle sortait de mon bureau, mon sexe était dressé dans mon slip et pendant au moins dix minutes, je restais à ne rien faire que de penser à Alice. Je me souviendrai certainement longtemps de l’après midi où, l’ayant appelée, elle est entrée dans le bureau. J’ai eu un choc ! Ce jour là, elle portait une minijupe noire qui lui arrivait à mi cuisse, découvrant ainsi ses longues jambes gainées de fin nylon fumé. Elle portait des escarpins noirs eux aussi, mais avec des talons d’une hauteur vertigineuse. Sa veste du même tissu que la jupe était entrouverte sur un sweet-shirt blanc très moulant, lui faisant comme une seconde peau. Ayant achevé de lui dicter un petit mémo, je lui ai tendu une liasse de documents à transférer dans un autre service. Je ne sais pas ce qui s’est passé car la liasse s’est retrouvée étalée sur la moquette. • Oh, excusez-moi, quel chaos. Alice s’est baissée pour ramasser les papiers, accroupie, les jambes un peu écartées, je pouvais ...