1. Cinquième rencontre échangiste : elles s’aiment


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Notre quatrième rencontre avait provoqué comme un froid entre nous. Caroline avait honte de s’être laissée aller à se faire prendre par un aussi grand nombre d’hommes. J’avais un peu les boules de l’avoir laissée faire, subjugué de la voir ainsi libérer, sucer les sexes qui se présentaient à sa bouche, la croupe brandie bien haut pour le prochain assaut sans trop vérifier si chacun avait pris la précaution de mettre un préservatif – Marc notre ami m’avait certifié que c’était toujours le cas – puis les cuisses grandes ouvertes, les pieds attachés dans le sling pour recevoir les hommes qui la prenaient debout, comme à la chaîne, les sexes monstrueux comme les plus dérisoires dans un grand délire sexuel dont elle était sortie épuisées, repue, désireuse de recommencer au plus vite puis un peu honteuse. Pour notre cinquième rencontre nous avions donc décidé de rencontrer un couple qui se présenta sous la forme du pseudo lesamarantes sur le site où nous avions nos habitudes. Elle venait d’Angoulême et rejoignait son amant parisien le week-end. Nous avions décidé de faire croire à nos belles que nous étions amis depuis longtemps avant de les emmener dans un délire érotique mutuel. Lionel et moi en avions longuement parlé au téléphone avant de nous rencontrer dans un pub parisien très british pour parfaire notre scénario. J’avais pu ainsi vérifier qu’il était bel homme, 1 m 80, svelte, assez chic, et que sa maîtresse était très belle, plus d’1 m 75, superbe brune de 35 ans, à ...
    ... peu près l’âge et la taille de Caroline. La grande différence entre elles étant qu’elle avait une bien plus petite poitrine. Notre idée était de les pousser dans les bras l’une de l’autre sachant qu’elles nous avaient toutes deux avoir eu des relations saphiques à l’adolescence. Il était 22 h quand nous frappâmes à la porte de Lionel. Il possédait une sorte de garçonnière sous les toits sur un beau boulevard parisien, près de Saint-Michel. Nous fîmes semblant de nous retrouver après de longues années où il avait vécu en Allemagne – c’était vrai – pour renouer les liens que nous avions eu étant étudiants. Caroline et Sigrid, sa copine, s’entendirent tout de suite très bien. J’avais même le sentiment qu’elles n’étaient pas dupes de notre jeu. Nous avions amené une excellente bouteille de Bollinger qu’elles burent bien vite. Une deuxième, de Moet cette fois ci, connut le même sort et leurs rires se firent de plus en plus bruyants, leurs yeux de plus en plus brillants, leurs jupes de plus en plus courtes. Un air disco que mis Lionel les fit se lever pour une danse très sexy entre elles. Nous les regardions se frôler, se toucher, tétanisés, excités, excitées, actives, s’embrassant dans le coup, nous regardant d’un air coquin, elles semblaient de plus trop s’intéresser à nous. Soudain elles se prirent dans les bras l’une de l’autre, s’embrassèrent longuement. Nous n’étions plus là. Seul leur plaisir comptait. Elles se touchaient, se déshabillaient. Quelques minutes encore et nous ...
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