Cinquième rencontre échangiste : elles s’aiment
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... assistions, épatés, au spectacle de Caroline léchant longuement le sexe de Sigrid, elle aussi les jambes grandes écartées, son sexe offert. Lionel avait un double gode qu’il leur proposa d’essayer et nous assistâmes au spectacle sublime de leur pénétration réciproque, avançant, reculant, prises toutes les deux. N’en pouvant plus nous leur donnâmes nos sexes à sucer, intervertissant les couples pour notre plus grand plaisir. La soirée allait bien au-delà de nos espérances. Peu après je vis Lionel prendre Caroline comme elle le préférait, en levrette, pendant que j’honorais Sigrid. Nos femmes étaient aussi belles l’une que l’autre, nos sexes se valaient, nous retrouvions un équilibre dans notre couple jusqu’au plaisir de ces dames qui arriva en même temps, les deux en levrette sur le lit, se touchant les seins pendant que nous les besognions. Notre plaisir fut également pratiquement simultané, ni l’un ni l’autre ne voulant jouir en premier. « Et à la fac aussi vous partagiez vos copines, nous demanda peu après Sigrid, les cuisses largement ouvertes exhibant son sexe glabre dans un fauteuil où elle sirotait un cognac, le champagne fini. - Non pas encore, nous étions assez jaloux de nos conquêtes respectives, affabula Lionel, continuant une histoire à laquelle elles feignaient ...
... visiblement de croire. - Vous étiez de beaux jeunes diplômés très recherchés, interrogea Caroline, qui s’en fichait totalement, en approchant Sigrid pour se repaître de nouveau de son sexe, la belle lui prenant les cheveux pour mieux la guider. Quelques minutes après nous assistions médusées à un 69 de toute beauté, insatiables elles ne pouvaient attendre que nous reprenions des forces, inassouvies elles se pénétraient des doigts, des godes, des langues, jusqu’au bout des seins de Caroline que Sigrid voulut absolument lui titiller le clitoris. Reprenant des forces nous essayèrent de les ramener à nous mais elles nous repoussèrent, abandonnant même le salon dans lesquels nous avions passés jusqu’ici toute la soirée, des fauteuils au canapé, pour se réfugier dans la chambre dont elles fermèrent même la porte. Nous nous sentîmes soudainement un peu stupides, nus, en érection, pas bien désireux de nous occuper l’un de l’autre même si elles nous dirent de « bien nous sucer ». Ce n’était pas trop notre truc et nous nous contentâmes de remettre nos caleçons pour les attendre. Le temps passait et nous nous avons fini par nous endormir. Le lendemain matin elles étaient toujours aussi belles quand nous ne réveillâmes et allèrent les rejoindre dans le lit où elles dormaient, tendrement enlacées.