1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°854)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°853) – Alors la musique reprit du volume. Je sentis des mains se poser sur moi, tendres, douces, et à mon avis féminines. Et on me soigna les nombreuses stries qui me couvraient. La crème que l’on m’appliqua m’apaisa instantanément ! Et avec le contrecoup de la première étape, je m’endormis rapidement tellement je me sentis relaxée, détendue. Au bout d’une demi-heure, je fus réveillée par de doux baisers. Mon bandeau et mon casque avaient été retirés. La jeune femme qui m’avait conduite ici, me caressait, m’embrassait, me léchais… J’étais embarrassée, jamais je n’avais eu de relations intimes avec une femme. Mais je me laissais faire. D’abord par obéissance envers le Maître Vénéré, mais il fallait bien que je m’avoue que le traitement que je subissais était vraiment délicieux. Mais lorsqu’elle vint se nicher entre mes cuisses et que sa langue commença à me lécher et mordiller le clitoris, je crus que j’allais mourir d’excitation sur place, tellement les ondes de plaisir m’électrisaient. J’essayais tant bien que mal de ne pas laisser éclater ma jouissance, mais cette demoiselle était experte et cela devenait très sérieusement difficile. - J’ai reçu l’autorisation de te faire jouir, murmura-t-elle en me regardant dans les yeux, tu peux donc te laisser aller à l’orgasme, tant que tu veux, tu peux jouir, petite femelle ... Alors je laissais mes cris exploser, je sentais mes sécrétions inonder son visage dans cette fulgurante ...
    ... jouissance autorisée. Mais elle n’arrêtait pas pour autant son magique cunnilingus. Elle commença même à me doigter profondément la chatte, et je me laissais submerger par un second orgasme. Alors sa bouche revint vers mon visage. - On dit toujours jamais deux sans trois, petite chienne en chaleur ! Et elle m’embrassa langoureusement, me faisant gouter à mes propres sécrétions. Elle se redressa, enfila un gode ceinture, avant de me relever les genoux sur le torse. Après m’avoir enfoncé ce sexe factice à plusieurs reprises dans la chatte pour le lubrifier, elle me l’enfonça d’un trait dans le cul. Elle resta plantée au fond quelques secondes le temps de me laisser m’habituer à cette profonde présence. Puis elle commença un va et vient, lent doux, au début pour accélérer de plus en plus, me défonçant sauvagement à la manière d’un homme viril, jusqu’à m’amener dans une ultime jouissance dans une saillie des plus bestiales. J’étais épuisée, vidée, mais je venais de découvrir des plaisirs que je n’aurai jamais osé penser !… Je planais en revenant m’asseoir derrière mon volant. Je n’avais jamais rien eu contre les homosexuel(le)s, j’étais sincèrement pour le mariage pour tous, pour le fait qu’ils/elles puissent adopter (il valait mieux avoir deux papas ou deux mamans et être heureux avec des parents aimants, que d’avoir un père d’un côté et une mère de l’autre avec une enfance malheureuse !) mais je n’avais jamais pu envisager d’essayer ce genre de relation. Et sachant que cela ...
«1234»