1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°854)


    Datte: 12/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... gorge, mais cela tarda à arriver, on voyait bien qu’il se maitrisait, qu’il faisait durer le plaisir le plus longtemps possible jusqu’au moment où il lâcha la sauce ! Il éjacula en de longues saccades jusqu’au fond de ma gorge sans se préoccuper si j’étouffais. Je dus faire un gros effort entre deux suffocations pour reprendre de l’air alors qu’il avait empoigné mes cheveux pour le plaquer contre son bas-ventre… Puis il m’insulta copieusement de sale chienne et me laissa partir … Lorsque je rejoignis ma voiture, j’avais terriblement mal aux genoux, le carrelage derrière le comptoir étant granuleux, il m’avait bien blessé les genoux, et même en les regardant attentivement je vis quelques perles de sang imprégnés dans le tissu de ma robe. Je reçus, au moment où je lançais le moteur, un texto. Pensant à de nouvelles consignes du Maître, j’attrapais avec empressement mon téléphone, mais je fus surprise de voir un message de mon mari : « Je rentre tard cette nuit, peut-être vers une heure du matin. Pourras-tu venir me chercher ? Je t’aime » Je regardais mon GPS. Je devais arriver chez Lucie à 00h30 ! Je commençais à paniquer. Comment faire les trois prochains arrêts exigés par le Maître ? Je regardais les messages échangés avec ce dernier. J’avais droit à lui répondre un message pour un reçu. Je n’avais pas répondu à celui que j’avais reçu à la gare de péage. Je me dépêchais donc de lui transférer le message de mon mari et de lui demander quelles étaient alors Ses nouvelles ...
    ... exigences. J’espérais qu’Il ne serait pas en réunion et qu’Il pourrait me répondre rapidement. Au bout de cinq minutes qui me semblèrent être une éternité, mon téléphone sonna : - Ma chienne, tu sais que je ne veux pas te faire prendre de risques dans ta vie vanille, chose à laquelle je me suis toujours engagé, alors rentre, prudemment sans excès de vitesse ! Je m’inquiète des marques qui doivent être encore très visibles sur ton corps. Tiens-moi au courant Ma belle ! Si jamais il y avait un gros souci, tu es autorisée à ne pas attendre de messages de Ma part pour m’en envoyer un. Le Maitre inquiet pour toi. Après lui avoir envoyé un message le remerciant et le rassurant sur ma façon de conduire, je repris la route. Le temps de récupérer mes filles, j’arrivais à l’arsenal au moment où mon mari descendait du bateau. Il avait l’air embarrassé, mais je n’y fis pas trop attention. J’étais préoccupée par les marques que j’avais sur le corps, et sur a façon dont je pourrais essayer d’éviter de lui montrer… Arrivé à la maison, il m’aida à coucher les filles, puis alla dans notre chambre. Alors que lui dormait toujours nu, moi cela variait. Je me dirigeais donc vers la salle de bain pour enfiler un pyjama long, en espérant que cela suffirait à cacher les traces des coups de fouet que j’avais reçu. Lorsque je montais à l’étage, mon mari me prit dans ses bras et voulut me déshabiller. Cela faisait déjà quelques temps qu’il était parti en mer (il est dans la Marine Nationale), il avait tout ...