1. Les malheurs de Gustave (1)


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... à lui savonner le dos, le bas des reins, puis il passe devant en s’emparant de la belle poitrine de Nelly qu’il masse consciencieusement, ce qui commence à troubler à nouveau sa mère. – Tu pourrais aussi te lever un peu, il y a encore une place que je n’ai pas bien nettoyé et cela ne sentais pas bon ce matin. Nelly se décolle du fond de la baignoire et elle sent tout de suite les mains savonneuses de son fils qui lui font un shampoing de sa petite moule, il insiste bien partout partout, ya le soldat qui garde l’entrée de la vallée, puis il descend jusqu’au puits abyssal et commence à caresser un peu cette petite rosette ce qui trouble à nouveau sa mère. – Tu ne crois pas que tu exagères un peu ? – Tu sais, si je veux te faire encore minette ce matin, autant qu’il n’y ait pas trop l’odeur de la fosse d’aisance qui me chatouille les narines. – Mais tu deviens un vrai cochon, mais cela me plait, je ne sais pas où cela va nous mener, mais on y va avec détermination. Je pense que je vais me faire poser un stérilet, bien qu’à mon âge, le risque n’est plus très grand, mais on ne sait jamais. Les deux sortent du bain, prennent les peignoirs respectifs et la mère : – Je vais écrire que tu es un peu pâle ce matin, j’ai envie de profiter de toi avant que ton père ne revienne. Après il faudra bien se tenir, j’aimerai pas de surprise. – Viens on va faire l’amour comme jamais, j’ai des envies folles avec toi, mais j’aimerai pas que tu t’épanche dans moi. Tu comprends pourquoi. Je ferai ...
    ... autrement. – Oui maman, tout ce te tu voudras. Les deux retournent dans la chambre nuptiale et comme deux fous, ils s’embrassent, se pelotent, se lèchent. Gustave est comme fous et saouls de sa mère, il faut qu’il explore tout, il met même sa langue sur le trou du cul de sa mère qui n’est vraiment pas habituée à ce genre de fantaisie, mais trouve ceci très bon, son cul en redemande. – Le prochain coup que tu as envie de pisser, j’aimerai aussi te goûter à la source et remplacer le papier pour essuyer. – Mais Gustave, tu deviens de plus en plus cochon, dieu sait quelle fantaisie tu vas encore me demander. Répond-elle, toute guillerette. – Maintenant, directement, j’aimerai bien te lécher tes aisselles, j’aime aussi son odeur de blonde, c’est moins fort que celle des rousses ou des noiraudes. – Tu en sais des choses. – Tu sais quand on est à la gymnastique, après les exercices, quand tu passes derrière certaines filles, tu ne peux savoir ce que cela dégage. Des fois, je chope la trique quand l’odeur est bonne et forte, il y en a déjà 3 nanas qui m’ont caresser la queue en le voyant, mais je n’ai pas voulu donner suite. Elles n’étaient pas contentes, mais je connais, c’est toujours la même chose, elles sont toujours plus fortes pour allumer que pour éteindre. – Je ne m’étais pas rendue compte que tu avais autant grandi. C’est vrai qu’avec un démonte pneu pareille, tu as tout ce qu’il faut pour assumer. Au fait, on a pas fait la thérapie ce matin, comment c’est quand je tire la peau ...
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