Les malheurs de Gustave (1)
Datte: 18/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qui restent bien fermes, malgré les maternités et les années et cette magnifique peau nacrée, douce est ferme malgré tout. Les yeux de Gustave ne peuvent se détacher de cet image d’Épinal, plus bas ce ventre légèrement bombé qui surmonte un pubis orné d’un charmant duvet de poils blonds. Plus bas en portant son regard, il ne peut qu’admirer cette vallée bordée de deux lèvres bien pleines et cette mer de corail en son centre. C’est trop fort, Gustave ne peut résister et au risque de réveiller la belle endormie, il se penche sur ce petit paradis terrestre, la lippe en avant, la langue conquérante, bien tendue qu’il plante dans cette fournaise qui l’appelle sans possibilité de se détourner. – Pouah ! Cela pue le vieux sperme desséché. Grommelle-t-il en se redressant. – Qu’est-ce que tu fais Gustave, gémit sa mère qui sort d’un doux rêve avec un chevalier blanc qui était entrain de la sauver du méchant dragon avec une belle lance. Du rêve, il ne reste que la lance qui palpite à proximité de sa main. Elle émerge en sentant la douce attention de son fil, tout d’abord, elle est complètement bouleversée de voir son fils, la langue pendante qui sort de son sexe qu’elle sent tout poisseux et sa vessie qu’elle a toujours pleine. – Mon dieu, pense-t-elle, j’ai failli lâcher ma vessie puis ce sentiment d’inceste épouvantable, puis tout lui revient, les soins, le téléphone, le souper, la suite flamboyante avec ses multiples orgasmes. Fondante d’amour : – Viens mon chéri, on va d’abord ...
... prendre un bain pour laver nos excès de hier, mais avant je vais soulager ma vessie, fais couler le bain. – Oui maman, mais j’aimerai te voir pisser. – Tu es un petit cochon, répond-elle toute émoustillée de l’intérêt que porte son cadet à ses parties intimes, mais c’est d’accord. Il fonce à la salle de bain, met le bouchon dans la baignoire et fait couler l’eau et ensuite se dirige vers le WC où sa mère est déjà assise sur la lunette. – Tu aurais pu attendre que je sois là pour bien voir. – Mais tu peux toujours bien voir mon chéri, j’ai pas commencé. Il s’installe juste en face de la lunette, le regard braqué sur la toison de sa mère qui commence à éjecter un joli jet doré, à ce moment là, le fils ne peut s’empêcher un geste un peu douteux, il met la main au paquet et sa main est aspergée du flux de sa mère. – Tu es un cochon. – Oui maman, mais toi tu es trop bonne dit-il en léchant sa main encore toute humide du jet doré de sa mère, je te bois. – Allez hop dans la baignoire, on a pas que cela à faire et on est déjà en retard répond-elle en se levant et se dirigeant d’un pas décider vers les étuves. – Je viens maman. – Tu penses qu’il y a de la place pour deux, – Certainement, si on se sert un peu, je viendrai derrière toi. – Pour commencer, tu pourras comme cela bien me savonner le dos. – Pas que cela.....aussi les bras, le bas du dos et.....ce qui est le meilleur, ta moule. – Taratata, canaille en piste. Les voilà les deux dans le bain et Gustave en fils bien aimant commence ...