1. Les malheurs de Gustave (1)


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tout mou. – Je fantasme sur tes seins et j’aimerai tant les sucer je crois que cela regonflerait ma pine lui répond Gustave. Nelly est bien embêtée et ne sait que faire, elle est arrivée à un carrefour où il n’y a que des routes sans issues. En attendant, elle pousse le testicule vers le bas en se disant que cela reviendra peut-être tout seul, mais après un long moment de massage, la bite est toujours en berne. Ne voulant pas rester le reste de la matinée et vu que le départ pour l’école commence à devenir pressant, elle rouvre son peignoir se penche en avant. – Tiens, mais il faut que cela reste absolument entre nous. Gustave ne se sent plus de joie, il approche sa bouche et sa main du sein maternel et commence à sucer délicatement et ce qui le fait arriver à l’orgasme voulu, mais cette fois, elle a pris ses précautions pour ne pas se faire asperger de cette crème de poireaux. Ouf pense sa mère, je crois que je suis sauvée par le gong, mais j’ai vraiment l’impression de jouer sur une corde vraiment raide, mon peignoir doit être complètement trempé, tellement que ces suçons étaient délicieux. Je deviens folle. D’une part cette obligation pour éviter une opération, d’autre part mon mari qui me néglige un peu et en plus ce sexe qui vaut deux fois celui de mon époux. Que vais-je devenir ? Elle se lève brusquement et va sous la douche froide pour se remettre les idées en place puis toujours en peignoir se rue à la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Une fois Gustave parti ...
    ... pour ses cours, elle se change les idées en faisant son ménage et se prépare à faire sa lessive quand elle aperçoit sa culotte de hier pleine d’un liquide comme de la crème, elle se penche, pas de doute, c’est du sperme et c’est pas celui de mon mari. Ce cochon de Gustave se branle dans mes culottes pense-t-elle, c’est pas étonnant que je n’arrivais pas à le faire décoller ce matin, il avait déjà donné, mais cette odeur de jeune mâle me trouble également, je sens que je vais devoir me calmer un peu et elle remonte dans sa chambre, ôte son peignoir et constate une grosse tache de mouillon sous son cul. – Mon Dieu minaude-t-elle, qu’est-ce qui m’arrive, j’ai mouillé comme une folle... Elle continue en se caressant sa fourrure blonde de son minet et en introduisant 3 doigts dans sa chatte, de l’autre main, elle singe le suçon de Gustave sur son sein et brusquement sans attendre, l’orgasme libérateur arrive. Elle plie son peignoir et le met dans la machine à laver avec le reste des affaires de la famille, passe sous la douche pour éliminer ce supplément de plaisir qui lui colle entre les jambes. Elle se fait du soucis pour ce soir, comment cela va-t-il se passer, saura-t-elle résister à l’appel des sens. A la fin de l’après-midi, son mari lui téléphone depuis Osaka où il est bien arrivé et l’informe que tout va bien. La discussion se termine là, mais bizarrement cela n’a pas raccrocher de coté de son mari et surprise Nelly entend : – Hum c’est bon, attention pas avec les dents, oui ...
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