1. Les malheurs de Gustave (1)


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... voilà, cela vient, tu avales tout Mélanie et à la suite un bruit de déglutition. – Tu es quand même la reine des suceuses. Merci. Je pourrai aller l’esprit plus clair dans les discussions. – Mais qu’en est-il avec ta femme ? Est-ce que tu envisages de t’en séparer pour qu’on se mette ensemble ? – C’est difficile, son père a financé mon entreprise et mes gros clients restants sont du coté de sa famille, on est en communauté de bien, si bien que si je divorce avec des torts, je serais pratiquement ruiné. Qu’est-ce qui est le mieux : un amant fortuné ou un vieux mari ruiné ? – Tu as raison et ton fils est un peu trop jeune pour sauter une génération, même si son sperme a meilleure goût que le tien, sa queue elle pue littéralement. – Quoi, tu as goûté à mon fils, tu es vraiment une vrai pute. Mélanie. – Bin oui, une fois que le conseil s’éternisait avec Grosjean qui s’écoutait tant parlé, je m’ennuyais alors je me suis dit pourquoi pas comparer le père au fils. Mais rassure toi, on en est resté à la turlute, il n’a pas voulu continuer et c’est un rapide. L’Orient-express. Excédée, Nelly ferme la réception, elle en sait assez sur son salaud de mari, toujours fourré à l’église et qui fourre à tour de bras dès qu’elle a le dos tourné. Elle va se venger, pas plus tard que ce soir. Très énervée elle part préparer le souper, mais le coeur n’y est pas, elle n’arrive pas à se concentrer sur des choses très simples, cela tourne en boucle dans sa tête, son univers est en train de basculer. ...
    ... A l’arrivée de son fils, elle lui annonce qu’ils iront manger à l’Hôtel du cheval blanc. — Prépare-toi, enlève tes jeans, passe sous la douche et mets une tenue un peu correcte. Après 10 minutes, elle entre dans la chambre de bain pensant qu’il finit de s’habiller et que voit-elle, son fils avec sa culotte du jour, passablement tâché des différentes émotions, entrain de la lécher et se masturbant à mort. – Mais que fais-tu, je t’attends. – Excuse Maman, mais je crois que je suis amoureux de toi, j’ai une bonne nouvelle, j’ai eu le seul 10 de la classe en composition française. – Oui, mais ceci n’explique pas ce que tu fais maintenant. – Je sais, mais je ne peux me retenir quand je sens ton odeur intime venir chatouiller mes narines. – Tu fais ceci depuis longtemps ? – Non, depuis le début du traitement, avant je n’avais rien remarqué. – Je vois, moi aussi je suis un peu perturbée par ce traitement. Finis de t’habiller et on va souper et on en reparlera ce soir après. – Oui Maman et il la prend dans ses bras pour l’embrasser, mais elle a juste le temps de se dégager avant que cela ne dérape. – Dépêche toi ! Bras dessus, bras dessous, ils se dirigent vers le restaurant du Cheval Blanc. – Madame Bruner, quel honneur ! Vous venez souper ?, je vous mets là avec votre fils près de la fenêtre – Merci dit-elle en enlevant son manteau de zibeline que son mari lui avait offert quand il était encore amoureux ou pour se faire pardonner, elle n’était pas sûr maintenant. – Voila la carte, ...
«12...567...17»