Les malheurs de Gustave (1)
Datte: 18/09/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... le soir, on ne fait pas le menu. – Vous avez des huîtres ? – Oui, toutes fraîches. – Alors amenez comme entrée deux douzaines avec deux flûtes de champagne. – Vous fêtez quelque chose, Madame Bruner ? – Oui, en quelque sorte. – Je vous les apporte tout de suite, dit le maître d’hôtel en s’éloignant vers les cuisines. Je vous laisse consulter le solde de la carte. – Au fait Gustave, je ne t’ai pas demandé si tu aimais les huîtres. – Jamais essayé. C’est le moment de commencer. Le plat arrive et le maître d’hôtel les ouvre devant eux. – Alors Gustave, qu’est-ce que tu penses des huîtres ? – C’est une drôle de consistance, mais j’aime bien le goût. – Moi, j’adore. – Tu sais, j’ai la certitude que ton père me trompe avec sa secrétaire, je suis très fâchée contre lui. – Tu es sûr ? C’est vrai que cette pétasse m’a déjà un peu agressé, elle voulait absolument me lécher la queue. Je l’ai laissé faire, mais ce n’est pas allé plus loin, je n’aime pas son museau de rat fouineur, ni ses jambes comme des allumettes. – Pour la suite en regardant la carte, j’ai envie d’une demi entre-côtes charolaise, avec des épinards et des frites, est-ce que tu partages avec moi ? – Oui, cela me convient. A la fin du repas, après avoir encore bu une bouteille de St Émilion entre les deux, Mme Bruner, appelle le maître d’hôtel et lui demande d’envoyer la facture à l’entreprise de son mari en ajoutant 20% de pourboire. – Viens on rentre, on a encore les soins à faire. Les deux se dirigent vers la maison ...
... en s’appuyant l’un sur l’autre, tant l’un que l’autre ne sont pas habitués à boire autant d’alcool. – Va prendre ta douche et prépare toi dans ma chambre, lui dit-elle, et je te suis. – Oui, Maman, tout de suite. Quelques dix minutes plus tard, elle rentre dans sa chambre, vêtue d’une nuisette et de son peignoir par dessus et Gustave est couché sur le dos avec une grosse érection. – Je t’avais dit de ne pas t’exciter à l’avance, c’est trop dur de retirer la peau du prépuce. – Essaye, j’ai l’impression que cela va plus facilement et que tes soins n’ont pas été vains. Alors Nelly, s’asseye sur le bord du lit et prend le sexe de son enfant en main et tire fermement la peau contre en bas, cela passe, mais Gustave ne peut réprimer une grimace de douleur et des larmes pointent à ses yeux. – Je t’ai fait mal mon amour ? Dit Nelly dans un ton angoissé. Et elle plonge pour donner un petit bisou sur la trique bien dégagée. – Oui, mais ce que tu m’as fait me permettrait de supporter toutes les douleurs. – Attends, je vais mettre un peu de vaseline et de crème. – Tu ne penses pas qu’un peu de salive pourrait suffire maintenant. – Toi je te vois venir coquin, mais pourquoi pas, du moment qu’on a commencé. Et elle prend dans sa bouche la bite de son fils et l’oint d’une salive abondante. – C’est bien que tu te sois bien lavé avant de venir, ton sexe ne sent pas mauvais maintenant. Il est même agréable à sucer. Dit-elle en faisant quelques aller et retour avec sa bouche. On va continuer le ...