1. Les malheurs de Gustave (1)


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... cela dure toujours. Répond Gustave en faisant un mouvement en avant et en arrière. C’est beaucoup mieux qu’à la main et cela ne fait pratiquement pas mal. On va faire comme cela dorénavant ? – Si tu veux mon trésor, je vois que tu es endurant, c’est bien, si on changeait un peu, j’aimerai bien venir sur toi. – Oui Maman attend que je désengage pour me mettre sur le dos. Le fils se met sur le dos et la mère vient s’empaler sur sa bite qui la remplit si bien et son garçon a de cette façon sa poitrine à disposition. Elle se penche pour lui donner ses seins à sucer tout en continuant un mouvement chaloupé. Elle sent qu’à nouveau, une fébrilité monte de son ventre et un nouvel orgasme se prépare, mais en parallèle, elle sent que les soubresauts de la bite de son fils annonce qu’il va bientôt éjaculer. Elle se dégage et lui prend la bite dans la bouche. – Viens mon fils, donne moi ce que je ne veux pas recevoir de ton père, donne moi ta semence dans la bouche. – Ah ! Je viens , c’est trop bon, mais toi, maman, je sentais que tu étais aussi sur le point de conclure, pour un moment, mon sexe est hors service, laisse-moi te donner un plaisir avec la bouche et après on pourra aller dormir. La mère s’avance sur son fils et place ces genoux de coté des épaules et lui présente sa motte luisante. – Tiens mon fils mange-moi, bois mon miel. Par la même occasion, le fils pétrit les fesses de sa mère qui sont bien fermes, c’est pas pour rien qu’elle fait de la gymnastique intensément. Elle ...
    ... part à nouveau dans un orgasme où l’aspect interdit épice encore son plaisir. – Je suis au bout, je n’en peux plus, mais le traitement a été fait très soigneusement on peut dire. Reste encore avec moi cette nuit, on ne sait jamais si une petite envie ne nous prend pas. Les deux essayent de s’endormir dans les bras l’un de l’autre, mais cela ne va pas et de caresses en caresses, ils voient que si ils continuent, la nuit risque d’être très courte, si bien que raisonnablement ils se la jouent en l’hôtel du cul tourné. Le lendemain matin, le soleil commence à pointer par dessus les crêtes du Jura quand Gustave émerge de son sommeil qui fut quelque peu agité. Il repasse en boucle les événements de hier, incroyable, ce souper avec sa mère, puis ses confidences sur la frivolité de son père, la suite amoureuse. Du coup, le thermomètre qu’il a entre les jambes est pas loin d’exploser, tant sous la pression de l’urine que de l’excitation. Il sent encore sur ses lèvres, le parfum intime de sa mère, ce qui augmente encore son excitation, mais le prépuce, il sert encore bien. Doucement et lentement, il essaye de le tirer, mais cela ne va pas bien, alors il se lève discrètement et va se soulager aux WC et revient doucement à sa place pour ne pas réveiller trop tôt son adorable mère. Elle est couchée sur le dos, exposant au soleil levant son anatomie magnifique. – Qu’est-ce qu’elle est belle ma mère, murmure Gustave, comment qualifier sa délicieuse poitrine, avec ces seins en forme de poire ...
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