1. Première fois en trio


    Datte: 13/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... entrecoupée de longs blancs, comme si chacun de nous trois attendait que la situation évolue sans vouloir en prendre l’initiative. Je me lève pour aller aux toilettes et à peine j'ai quitté la pièce que Philippe lui dit : (j'écoute aux portes) — Écarte un peu plus les jambes que je voie ton slip ! Il y a trois heures, cette phrase lui aurait valu une vigoureuse paire de baffes ! Pourtant, maintenant, elle le regarde, souris et, lentement, écarte les cuisses, lui dévoilant son léger sous-vêtement. Cette vision ne semble pas lui déplaire si j’en juge la bosse qui déforme son pantalon. — François en a de la chance d’avoir une femme comme toi. Je me trompe ou cela t’excite de te montrer ainsi. Non ? Viens près de moi ! Comme un automate, elle le rejoint. Il la prend dans ses bras, la fait asseoir sur ses genoux et sa main remplace la mienne sur sa cuisse. Je reviens et les découvre ainsi, Nat avec sa robe retroussée, la main de Philippe presque sur son sexe. Je les regarde, un sourire aux lèvres, puis m’installe dans le canapé et dit : — Je vois que le courant passe bien entre vous deux ! — Ne m’en veux pas mon chéri… je ne sais pas ce qui m’a pris… j’ai dû boire un peu trop… Elle tente de se relever mais Philippe la maintient fermement. — Ne bouge pas ! Philippe et moi allons te donner le plaisir que mérite la jolie femme que tu es. Nat cogite, j'imagine ses pensées... (Serait-ce un piège ? Mon mari est-il complice ? À ce moment je commence à le croire sérieusement. Je me ...
    ... rappelle quelques discussions pendant lesquelles François évoquait ce genre de rapport à trois. Il n’aurait pas osé sans m’en parler auparavant !) si ! Pendant qu'elle imagine cette connivence entre Philippe et moi, il n’a pas perdu de temps et ses doigts flattent maintenant sa fente dont il constate l’état d’humidité avancé. (Après tout ? Puisque mon mari est consentant, pourquoi ne pas en profiter ?) Elle écarte donc largement les jambes, offrant sans retenue sa chatte aux doigts curieux de notre ami qui, sentant toutes les barrières levées, se faufile sous son sous-vêtement pour la caresser à même la peau. (Mon chéri ne nous quitte pas des yeux et son pantalon présente la même déformation que celui de Philippe. Et bien puisque qu’il le veut…) D’un signe, elle m’invite à m’approcher et fais rapidement glisser jean et caleçon, dévoilant mon sexe fièrement dressé. Elle me branle un peu puis, se penchant, embrasse mon gland, flatte ma hampe, je ne peux retenir quelques soupirs d’aise. — Oh, elle a l’air d’aimer te pomper la queue ! Dit Philippe. D’ordinaire, elle ne supporte pas ce genre de langage, mais ce soir, pourtant, entendre un quasi inconnu parler d'elle comme ça doit l'exciter. Philippe semble s’en rendre compte d’ailleurs car ses doigts s’enfoncent un peu plus loin encore dans son sexe. — Mais c’est qu’elle est trempée ! Tu aimes ça ? — Hum… parviens-elle à murmurer. — Dis-le moi que tu aimes ça ! — Oui j’aime… comme j’aime que tu me fouilles la chatte ! Je ne la reconnais ...
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