1. L'Éden et après


    Datte: 15/01/2020, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    Elle en avait marre, assez de bosser dans ce jardin, pas d’Éden, qui la martyrisait, qui la salissait, qui lui cassait les ongles. Elle se sentait sale, collante sous la transpiration. Il faisait chaud, si chaud, et elle dégoulinait, mais il fallait le faire. Elle avait revêtu un short et un t-shirt, mais elle avait encore trop chaud. Il serait plus raisonnable de laisser tomber. Le temps était splendide et le ciel d’un bleu de lavande, le soleil tapait, mais il y avait un peu de vent, c’était un temps superbe et elle aimait cela d’habitude. Elle s’accorda une pause, jeta sa pelle au loin et s’assit sur le tas de terre encore chaude sous ses fesses : une pensée lui traversa soudain l’esprit. Elle était dans le fond de son jardin, seule, et la plupart de ses voisins se trouvaient partis en vacances. Il faisait beau et le soleil tapait fort. C’était un jardin de curé, entouré de hauts murs de pierre, recouverts de crépi usé et délité, avec des espaliers le long et une treille près de la maison. Elle aimait beaucoup les fleurs et en avait peuplé le moindre recoin de son jardin, des espaliers abritaient un petit potager : tomates et salades et puis des herbes pour la cuisine. La terre était fine et douce, mais les mauvaises herbes prospéraient et elle passait son temps à les éradiquer, les arrachant, les coupant, les écrasant. Pas de produits chimiques, pas de pesticides, ni de tue-herbes, elle n’y songeait même pas, se refusant à cette cuisine trop facile et aux odeurs ...
    ... désagréables. C’était un travail épuisant et sans fin, chaque jour elle venait dans son jardin et chaque jour elle repartait avec un sac plein. Elle aimait ça, elle aimait sentir la fatigue l’envahir et puis disparaître après une bonne douche, elle aimait cette douce lassitude du travail bien fait. Mais pas aujourd’hui. Le temps était magnifique et le ciel bleu roi sans nuage, la chaleur était douce et elle sentait quand même sur sa peau la présence de l’automne qui allait s’installer. Pourquoi ne pas bosser en maillot ? Elle pourrait bronzer tranquillement et puis ce serait si agréable, comme une prolongation de l’été. Elle sourit et décida de passer aux actes, se reprochant de ne pas avoir pensé à cela plus tôt. Son jardin était protégé des regards indiscrets, entouré de murs ou de haies et elle appréciait ce calme et cette tranquillité. Elle rentra et se chercha un deux-pièces, quelque chose de pas trop neuf, qu’elle pourrait sacrifier, car elle se salirait certainement. Elle finit par trouver un maillot qu’elle n’avait jamais mis et pour cause ! Elle s’interrogea : c’était un deux-pièces en tricot de coton, lâche et baillant, la culotte était un string et le soutien-gorge ne soutiendrait certainement pas sa poitrine, elle penchait plutôt pour le contraire ! Elle n’hésita pas longtemps, enfila le vêtement et mit une paire d’espadrilles légères. Elle se regarda dans la glace, jugeant de l’effet produit. Nancy était grande et élancée, mince, bronzée. Elle se désolait, car elle ne se ...
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