1. L'Éden et après


    Datte: 15/01/2020, Catégories: f, fh, inconnu, uniforme, fépilée, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... la matinée ainsi, transpirant et soufflant, maniant avec vigueur le pic et la pioche, charriant la terre en de grandes brouettées vers le fond du jardin. Au fur et à mesure du temps qui passait, sa sensualité, d’abord endormie, se réveilla et devint de plus en plus présente, son corps lui envoyait des signaux pas désagréables du tout, elle vibrait à une musique intérieure, elle devenait partie du paysage. Le contact de la terre la rendait encore plus sensuelle et elle se débarrassa vite de ses chaussures pour pouvoir enfoncer ses pieds nus dans la terre chaude et humide. La terre se logea entre ses doigts de pieds et elle trouva ça divin. Il lui était moins facile de manier ses outils sans s’aider des pieds, mais elle y arriva quand même, changeant ses gestes. Elle se sentit faire partie de la nature, du monde, elle se sentit animale. La terre, fine et douce sentait bon, sentait les champignons, la vie. Elle avait envie de s’y coucher, de se vautrer dans cette terre si fine, si belle. Elle retira ses gants. Elle regarda autour d’elle et s’étant assurée qu’elle était vraiment seule, elle s’agenouilla dans le carré qu’elle venait de bêcher, enfonçant voluptueusement ses genoux en terre puis, saisissant à pleines poignées l’humus qu’elle venait de retourner, de travailler, le fit couler sur son ventre, sa poitrine. Elle s’en couvrit et se vautra dans les mottes friables, dans la terre fine. Le soleil tapait fort et le sol était chaud, ce contact la remplit d’aise et elle ...
    ... commença à se caresser doucement, écrasant la terre entre ses cuisses écartées, sur son sexe, sur son ventre jusqu’à ce que l’orgasme la renverse en gémissant. La honte l’envahit et elle eut l’impression que tous ses voisins s’étaient réunis pour la regarder… Cela disparut très vite, remplacée par une sensation de bonheur sensuel, elle avait eu du plaisir, mais cela n’était pas honteux, cela la regardait, elle seule. Elle se releva, le ventre souillé par la terre poussiéreuse et brune, fondue au contact de son miel. Elle se dirigea vers le robinet d’eau, dans la buanderie sombre et fraîche, qui lui servait à remplir ses arrosoirs et s’aspergea d’eau froide, éclaboussant son ventre d’une poudre de diamants, de gouttelettes qui s’accrochaient au duvet blond qui la couvrait. Son sexe nu éclatait au jour, car elle avait l’habitude de se débarrasser de tout poil gênant, offrant aux regards un sexe de petite fille, lisse et charnu. L’eau était froide et fit s’horripiler sa peau. Elle remplit un seau avec l’eau fraîche et le vida d’un coup sur elle, la faisant hoqueter sous le choc. Elle eut encore un peu honte de ce qu’elle avait fait et imagina ce qu’aurait vu un spectateur qui l’aurait surprise ainsi. Elle en rougit, mais ne regretta pas et se dit prête à recommencer. Elle se dit aussi qu’elle sortirait ainsi au prochain orage, pour sentir sur sa peau nue la pluie, le vent… La matinée passa vite et agréablement, ponctuée de pauses-caresses fréquentes et variées. Quand le facteur sonna ...
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