1. Bal masqué (3)


    Datte: 16/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... étaient sérieuses, revoyant et corrigeant nos fiches, jouant au jeu des questions réponses. — Est-ce que tu me trouves jolie ? demanda-t-elle soudainement — Pourquoi ? Tu en doutes ? Elle sourit. — Oui, tu es très jolie, continuai-je. Surtout aujourd’hui. Tu caches bien ton jeu. Elle baissa la tête, troublée. — Merci, dit-elle doucement. — De rien. C’est sincère. Elle déposa un baiser sur ma joue. Surpris, je tournai la tête. Nos lèvres s’effleurèrent. Un moment d’hésitation, elles s’unirent. Nous reprîmes nos révisions, aussi troublé l’un que l’autre. Mais j’osai poser ma main sur son genou. Elle ne dit rien, invitation tacite à continuer. Entre deux formules mathématique ma main remontait doucement, passant sous le tissu, s’approchant dangereusement de la fin de la route. Mon doigt heurta doucement le tissu de son dessous. Elle laissa échapper un petit cri de surprise. Je retirai ma main qu’elle garda entre ses cuisses fermées. On échangea un autre baiser. Elle desserra son étreinte et je repris ma caresse. Elle m’entraina sur son lit. On s’allongea bouche contre bouche, ma main sur son string humide. Mon sexe était tendu dans mon jean, presque douloureux. Elle posa sa main dessus, chercha à défaire le bouton. Je l’aidai et elle plongea sa main dans mon caleçon. Je me dégageai, à deux doigts, c’était le mot, d’exploser. Je me glissai entre ses cuisses, retirai ce qui était effectivement un string et caressai son sexe cerné d’une toison fournie mais ...
    ... entretenue. Je le caressai avec mon index. Marion gémissait, se tortillait. J’approchai ma bouche. L’odeur musquée, aphrodisiaque, envahit mes narines. Je pointai ma langue, goutait son nectar. Elle posa ses mains sur ma tête, plaquant ma bouche sur son sexe trempe. Je ne sus pas si elle jouit, mais visiblement, elle appréciait. Elle se calma enfin et m’attira à elle. — C’était très bon. Merci, dit-elle avant de m’embrasser. A son tour, elle se pencha sur mon sexe et au moment où elle allait fermer ses lèvres autour, on frappa à la porte. — Marion, n’oublie pas qu’on est invité ce soir chez ton oncle. On part dans une demi-heure. — Et merde ! grogna mon amie avec une vulgarité qui me surprit. Je l’avais oublié celui-là. Puis, sans se poser plus de question, elle goba mon gland. Elle me suça divinement bien. Du moins, c’est ce que je ressentis pour une première fellation. — Je … je … Elle tendit la main vers une boite de Kleenex qu’elle posa sur mon sexe, le masturba tout en m’embrassant. J’éjaculai. Une quantité énorme de sperme emplit le mouchoir qui céda, déversant son contenu sur le parquet. — Désolée, dis-je. — T’inquiète. Je pense que ça ne tache pas. — J’en sais rien, dis-je. Tu sais que tu es la première avec qui je fais … avouai-je après un court silence. — Toi aussi, tu es mon premier garçon. Et je ne regrette pas. — Moi non plus. — La prochaine fois … Sous-entendu, on ira plus loin. Je quittai Marion sur un dernier baiser. Mais il n’y eut pas de prochaine fois. 
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