Le sceptre de la Reine des Amazones
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
aventure,
... brillantes remarques pour vous et écoutez mieux. Si vous aviez pris le temps de lire les inscriptions sur le mur au-dessus du gisant, vous sauriez que lui rendre sa virilité n’est pas une finalité. Ce n’est qu’une étape. Seule une authentique Amazone pourra ouvrir la voie au tombeau de Clitemnis, c’est écrit. Et… une authentique Amazone a pour amant Olisbos.— Où veux-tu en venir, Stewie ? s’impatiente Sydney, bras croisés sous sa poitrine.— Simplement, très chère, il va falloir que l’une de vous deux fasse quelques gâteries à ce pauvre Olisbos, oublié depuis si longtemps. Il attend un don de plaisir pour accorder l’accès au tombeau de sa Reine. Sydney est estomaquée. Tali est dubitatif. Anna a perdu de sa contenance. Nigel regarde successivement Sydney et Anna, bouche ouverte. — Je vais choisir pour vous, écourte Stewie Harper. Voyons, voyons… fait-il en dépouillant les deux jeunes femmes du regard, le cylindre de son arme contre la bouche. Anna… je suis persuadé que vous donneriez un joli spectacle, mais je préfère entendre notre chère Sydney Fox nous gémir une douce mélodie. Annonce faite, ils se toisent du regard, longuement. — Assez joué, Sydney. Enlève tes bottes, ton pantalon, tes armes accessoirement… et fais-toi jouir sur le sceptre. Allez, allez, insiste Harper, d’un geste vers la statue. À moins que tu ne m’obliges à user de la manière forte ?— C’est bon. Je vais le faire.— Ha ! Excellente résolution. La ferme, vous autres, j’ai dit ! rappelle le rival de Sydney ...
... pour couper court aux invectives des captifs. Et d’ailleurs, laissez mademoiselle Fox se concentrer, tournez-lui le dos… Bien. Tandis que Sydney se défait de ses bottes, Harper se place derrière les trois autres archéologues, alignés sagement et de telle sorte qu’il puisse surveiller du coin de l’œil la zone de la statue. En attendant, il apprécie l’effeuillage de Sydney, laquelle, face à lui, se retrouve à demi-nue, ne conservant que son débardeur et son air de défi. Il en faut bien plus pour la briser. Harper la caresse du faisceau lumineux de sa lampe, la détaillant des mollets aux bouclettes sombres de son mont d’Aphrodite. — C’est bon, dit-il. Va. Je te laisse dans la pénombre, ça pourrait t’aider.— Tu me paieras ça, Stewie.— Je n’en doute pas, rétorque-t-il à voix basse tandis que Sydney rejoint avec grâce l’autre bout de la pièce, près du gisant d’Olisbos. La lumière la suit toujours ; Harper veut la voir empalée pour s’assurer qu’elle ne profitera pas du noir pour tenter quelque chose. Elle le devine, sur sa gauche, là-bas, tandis qu’elle enfourche le gisant et s’agenouille devant le sceptre tendu vers le ciel. La pierre porte en elle la chaleur du pays ; elle est douce entre ses cuisses. Sydney ne sait comment faire… comment trouver du plaisir sans oublier qu’une arme est pointée sur ses compagnons ? Comment même faire naître un désir quelconque pour une œuvre d’art, aussi sensuelle soit-elle ? Sans y penser, plus par inclination scientifique ou esthétique, elle ne peut ...