Le sceptre de la Reine des Amazones
Datte: 16/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
humour,
aventure,
... s’empêcher cependant de se pencher un peu pour suivre du doigt le dessin raffiné de la statue, les muscles si réels du ventre, du torse… Incroyable sensation, comme si le corps entier avait été moulé du vivant de cet homme et non seulement son membre viril. — Olisbos… souffle-t-elle, imaginant la vie étonnante de cet homme lointain, le charisme qui devait être le sien pour inspirer une telle passion à la première des Amazones. Un éclair. Pendant un infime instant elle a perdu contact avec la réalité, retiré instinctivement sa main de la poitrine de pierre. Des fragrances d’encens flottent comme des lambeaux de souvenir autour d’elle. Le souffle court, Sydney pose à nouveau la main, lentement, en une longue caresse délibérée. Quelque chose s’est réveillé en elle. Mue par un antique instinct, elle s’avance suffisamment pour pouvoir pencher son visage au-dessus de celui de la statue, ce qui l’oblige à passer par-dessus le pieu d’ivoire. Elle le sent frôler son entrejambe lorsqu’elle pose ses lèvres avec dévotion sur celles d’Olisbos. * * * * * — Shidni, détends-toi, murmure une voix de femme dans son dos. Son baiser se finit dans le vide. La lueur dansante des bougies lui révèle l’intérieur dépouillé d’une tente. Une couverture, quelques coussins de soie devant elle. Et des mains légères, des mains féminines sur ses fesses levées, impudiques. Un regard plus bas : elle constate qu’elle est nue, ses seins frémissent sous elle doucement. Elle est dans un état d’excitation qui la ...
... surprend. Elle sait qu’elle devrait haïr la femme derrière elle, la maîtresse de ces Amazones qui lui ont pris sa famille, sa vie. Mais sa présence est comme un brasier qui irradie en elle, qui annihile toute volonté pour la rappeler à sa condition primaire, pour raviver en elle les pulsions charnelles en accord avec ce que les Dieux ont voulu. — La guerre comme l’amour est une lutte entre deux corps, Shidni. Tu as connu la première par moi sous un soleil brûlant, mais c’est avec la bienveillance de la lune que je vais t’initier à la seconde.— Oui, ma reine, accorde celle qui n’a encore jamais connu l’étreinte d’un homme.— Cambre-toi bien que je puisse te regarder dans la douceur de tes vingt printemps. Shidni, alanguie tel un félin lascif, élève autant qu’elle peut ses rondeurs ouvertes, consciente de se dévoiler comme la dernière des filles à soldats. À son souffle, elle devine la reine toute proche de son intimité. Les mains aussi douces qu’autoritaires lui interdisent de cacher le moindre renflement de peau. — Tu es une fille merveilleusement docile, Shidni, la félicite Clitemnis qui lui accorde en récompense un premier baiser au creux de la cuisse, puis un second, plus haut et un troisième qui s’ouvre sur une langue caressante. Shidni ferme les yeux, son corps ne voyant plus que par ce qu’il ressent, ces frissons qui naissent à la bouche de la reine pour gagner ses reins, ses seins, sa nuque ployée. Peut-être a-t-on versé une substance hallucinogène dans son verre de vin, ...