1. Les bons plans de Cassandra


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, extracon, fépilée, Collègues / Travail collection, amour, volupté, revede, init,

    ... entre eux, en omettait, en rajoutait… Bref, elle n’était jamais tranquille. L’esprit toujours en éveil, toujours sur ses gardes. Sans compter les visites chez son gynécologue… Pour elle, le comble de l’horreur : s’il y avait bien une chose dont elle avait horreur, c’était les visites chez cet homme de l’art. Se déshabiller, se positionner, écarter les jambes et se laisser examiner sous toutes les coutures, en souhaitant qu’il ne trouve rien à redire, surtout rien d’anormal. Pour elle, c’était une des dernières grandes humiliations de sa condition de femme que de présenter son sexe ouvert à force d’instruments pénétrants à l’examen minutieux de son intimité sous le regard froid d’un médecin. Sans oublier qu’il fallait lui raconter sa vie intime, presque lui faire le compte de ses amants et évoquer les détails de ses pratiques. Lui certifier que oui, elle n’avait que des rapports protégés. Que oui, elle pratiquait la sodomie, mais que oui, elle faisait attention, qu’elle connaissait les risques des gâteries buccales, surtout après. Que oui, elle se touchait les seins et se les palpait régulièrement pour vérifier qu’il n’y avait pas de grosseur suspecte. Et que… Merci, docteur, de bien vouloir renouveler mon ordonnance pour un nouveau stock de pilules. Et que… Non, docteur, je n’hésiterai pas à vous appeler si je l’oublie ou si j’ai un doute après un petit accident… Et que oui, docteur, j’ai bien compris qu’aujourd’hui on trouve des pilules du lendemain (qui déchante), et que… ...
    ... Au revoir, docteur, et, malheureusement, à la prochaine fois ! Tout ça, Cassandra en avait une sainte horreur, et même si elle savait qu’être lesbienne ne la mettrait ni à l’abri des visites chez le gynéco, ni de la transmission de certains types de maladies, elle les enviait juste pour ne pas avoir à endosser cette terrible responsabilité qui pesait quotidiennement sur ses « frêles » épaules : celle de ne pas oublier d’ingurgiter cette toute petite pilule. Aussi, lorsque Claudine l’avait simplement entraînée sur le canapé de cuir, sans savoir ce qui allait advenir de la suite des évènements, Cassandra s’était laissée faire, éprouvant même un certain plaisir à goûter à la douceur de l’amour d’une femme. Sans lâcher sa bouche, Claudine l’avait doucement allongée sur le canapé de cuir. Ses mains avaient virevolté des seins vers son ventre, ses fesses, son entrejambe tout humide, elle avait introduit ses doigts agiles sous le maillot de bain et avait cherché son clitoris. Le contact doux des doigts fins et caressants lui avait fait ouvrir les jambes. Claudine, experte, savait instinctivement comment caresser son petit bouton : au moyen de l’ongle, elle avait joué durant un long moment à agacer cette terminaison nerveuse ultrasensible, déclenchant des séries de spasmes dans son ventre, contractant son intimité, la faisant s’ouvrir et se contracter au rythme infernal et de plus en plus endiablé des attouchements. Et dans un état de semi-conscience, Claudine l’avait dévêtue. Elle ...
«12...161718...27»