Les bons plans de Cassandra
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
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Collègues / Travail
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... avait aussi lâché sa bouche et commençait à explorer son intimité avec sa langue. Le premier contact avait faire un bond à Cassandra. C’était tellement bon, tellement particulier ce premier contact d’une bouche féminine sur son sexe ! Doux, soyeux, délicat. La langue venant se poser idéalement là où elle était sensible, comme par enchantement, à la base de son clitoris, remontant sur la petite tigette sensible. Une caresse comme elle en avait si souvent rêvé avec des amants toujours pressés d’en finir avec les préliminaires. Là, au contraire, la tête de Claudine entre ses jambes écartées, il lui avait semblé que ces préliminaires qu’elle aimait tant allaient pouvoir se prolonger indéfiniment. Et puis sa langue avait aussi commencé à écarter ses lèvres, les décollant l’une de l’autre avec délicatesse, comme si cette caresse avait pu lui faire mal. Non, au contraire, la caresse avait été douce, sensuelle. Les lèvres et la bouche de Claudine avaient été mieux que des doigts pressés d’un homme rustre et fougueux, même attentionné. Par petites aspirations, Claudine avait découvert chaque millimètre de sa vulve, usant du pulpeux des lèvres pour mieux écarter son intimité. Du bout de sa langue, elle avait taquiné la base de son méat urinaire, un endroit qu’elle n’avait jamais imaginé aussi sensible et qui lui avait même fait poindre une goutte d’urine. Et sans se presser, avec une languissante lenteur, Claudine avait encore plus écarté les jambes pour atteindre l’entrée de son ...
... intimité. Cassandra le souffle court, les cheveux en bataille, les deux mains sur les seins qu’elle avait empaumés et dont elle roulait les pointes pour accroître son plaisir, s’était totalement livrée à la langue exploratrice et pourvoyeuse de désirs et de plaisirs, une langue qu’elle n’avait jamais imaginé aussi souple, aussi longue, aussi agile, aussi fouineuse. Elle l’avait sentie la pénétrer, comme une queue masculine, mais mouvante, ondoyante et… Emouvante. Elle se tortillait en elle, allait racler les parois de ses muqueuses, avait déclenché mille soupirs de plaisir. La langue de Claudine lui avait même fait découvrir cette zone dont certaines de ces copines et collègues de travail parlaient comme une zone extraordinaire, le fameux point G. Cassandra, plusieurs fois, avait bien tenté de le découvrir toute seule en se caressant lorsqu’elle était seule dans son lit ou dans son bain, mais jamais elle n’avait réussi à l’isoler. Bien sûr, rares aussi avaient été les hommes qui s’y étaient intéressés. Mais là, sous la langue de Claudine, elle avait ressenti cette étonnante sensation de plaisir qui avait envahi tout le ventre, lui faisant monter la pression à un point tel qu’elle avait eu l’impression qu’elle allait exploser, que de son sexe, allait jaillir une source continue de plaisir et que jamais au grand jamais ce plaisir, cette jouissance ne pourrait s’arrêter. Un plaisir chaud, humide, liquide. Et la langue avait continué à la fouiller, à l’explorer, à visiter tout son ...