1. Les bons plans de Cassandra


    Datte: 17/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, jeunes, extracon, fépilée, Collègues / Travail collection, amour, volupté, revede, init,

    ... C’est que cette « mise en bouche » lui avait mis le feu au ventre et la belle queue qu’elle venait de sucer avec succès lui laissait espérer encore quelques bons moments de plaisir. Mais voilà que son compagnon se fâchait. Très énervé, il lui avait expliqué qu’elle devait toujours avoir des préservatifs sur elle. Et sans autre forme de plaisir, devant une Cassandra nue et excitée, il s’était rhabillé et l’avait plantée là, frustrée et ahurie par cette muflerie, par cette goujaterie. Folle de rage contre ce rustre, en colère contre elle-même, le lendemain matin elle était partie à la pharmacie et avait investi dans une grosse boîte de capotes. Elle en avait fourré deux ou trois dans son sac, qui avaient rejoint ses deux protège-slips, ses tampons de réserve et son maquillage. Non mais ! On ne l’y reprendrait plus à ne pas avoir de préservatifs sur elle ! Cassandra, à ce moment là avait commencé à écumer les lieux de vie nocturne à la mode. Elle en changeait comme d’autres changent de culotte. Quelques jours après cette première expérience, elle avait été raccompagnée par un autre phénomène. Celui-là, son prénom était resté gravé dans sa mémoire : Roberto. C’était un italien au sang chaud, au buste et au dos aussi velus que ses avant-bras et ses jambes. Sous un petit bedon rebondi, il n’avait de cesse d’étirer manuellement son sexe dont il espérait augmenter le volume en le tripotant ainsi. Lui, il ne s’était même pas encombré d’un fallacieux prétexte : à peine monté dans le ...
    ... taxi qui les ramenait qu’il lui avait dit vouloir coucher avec elle. Cassandra, d’abord un peu surprise, avait essayé de jouer les jeunes filles effarouchées et prudes. Mais déjà la main de Roberto avait envahi son bas ventre et sa bouche enfermait ses lèvres dans un fulgurant et fougueux baiser. Et dans le studio de Cassandra, les choses s’étaient encore brusquées. À peine débarqué, Roberto était nu, affichant une virilité velue et fière de sa personne. Cassandra avait juste eu le temps de jeter par terre ses vêtements que déjà il lui intimait sa volonté qu’elle le prenne dans sa bouche. Il s’était affalé en travers du lit, jambes écartées et avait attendu la bouche de Cassandra. Se souvenant son aventure de la semaine d’avant, Cassandra s’était appliquée à avaler le plus loin possible le sexe du bellâtre. Mais là, elle avait eu plus de facilité : il était petit et fin. Un vrai sexe de garçonnet. Elle avait beau sucer, tirer dessus, elle n’arrivait pas à en sentir le bout aller buter contre son arrière-bouche. Roberto devait aimer comment elle l’avait embouché, car il n’avait pas arrêté pas de se trémousser. Enfin, elle avait senti le pénis durcir et se tendre et quelques gouttes âcres étaient venues gicler contre son palais. Roberto avait poussé de profonds gémissements de satisfaction. Et d’un geste autoritaire, il lui avait arraché son sexe de la bouche et, en la couchant sur le dos en travers du lit, il avait tâtonné vers la poche de son pantalon, en maugréant une bordée ...
«12...456...27»