Le fétiche
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
pénétratio,
aventure,
fantastiq,
... souriant et j’ai su que je n’avais pas de souci à me faire. — Pour ce genre de service, vous pourrez toujours compter sur moi, Professeur Johnson. Tandis qu’elle quittait la pièce et que, sous le plateau du bureau, je tenais toujours mon serpent cracheur à la main, j’ai senti la caresse des plumes me chatouiller les doigts, puis la dureté du cuir se détachant de mon sexe ramolli, jusqu’à celui-ci finisse par glisser hors du fourreau magique pour pendre entre mes cuisses comme une pathétique limace. Le charme était rompu, le cylindre emplumé avait repris l’apparence qu’il avait quand le père de Nuse me l’avait offert, à l’exception du jus brillant qui recouvrait la chevelure, des filets de sperme qui coulaient de la bouche et de ce sourire béat qui se dessinait sur ses lèvres cousues. ooo000ooo Quelques minutes plus tard, j’ai quitté mon bureau, emportant avec moi le fourreau emplumé. J’ai passé l’après-midi à l’étudier, l’analysant sous toutes ses coutures, consultant toutes les sources possibles sur l’internet et dans la bibliothèque de l’université. Aucun récit, aucune légende, aucun mythe ne faisait référence à une divinité phallique capable de s’incarner dans le sexe des hommes pour les transformer littéralement en… tête de nœud. Je n’avais nullement l’intention de m’arrêter à cette première expérience. J’avais l’impression que le guerrier jivaro n’avait pas vraiment quitté mon corps, qu’il m’accompagnait tandis que je découpais délicatement les liens fermant les lèvres ...
... et les paupières, imaginant secrètement qu’elles s’ouvriraient lors de notre prochaine rencontre. J’ai descendu deux whiskies et tourné dans la maison pendant plus d’une heure, essayant de trouver quelque chose d’important à faire, quelque chose qui m’éloignerait de ce serpent à plumes et à tête humaine, posé sur le bureau, attendant que je vienne le saisir pour partager une nouvelle chasse avec lui. — Allô ?— Professeur Johnson ? C’était Melany Griffith, une de mes étudiantes de première année. Tout juste vingt ans, une allure de jeune fille modèle, couplée à un physique propre à déclencher des pensées beaucoup moins modèles. Je l’avais inscrite sur ma liste de candidates à mes « cours particuliers », mais jusqu’ici l’occasion ne s’était pas présentée. Elle souhaitait me parler de son prochain travail sur l’œuvre de Margaret Mead et si je suis intimement persuadé que telle était son intention, en raccrochant le téléphone après l’avoir invitée à venir me voir dans une heure, je savais pertinemment que ce n’était certainement pas la mienne. Je dois avouer que je tremblais un peu lorsque, pour la deuxième fois, j’ai approché le cylindre emplumé de ma bite aussi molle qu’une limace. J’ai glissé les quelques centimètres de chair pantelante dans le large conduit et quelques secondes plus tard, j’ai à nouveau ressenti l’agréable et douce chaleur qui m’avait déjà traversée quelques heures plus tôt. Mon sexe se gonflait doucement, délicieusement, jusqu’à se retrouver à l’étroit dans ...