Le fétiche
Datte: 17/01/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
grossexe,
pénétratio,
aventure,
fantastiq,
... Melany, tout en serrant d’une poigne ferme le cou de mon impatient chasseur, puis je l’ai abandonnée quelques seconde pour aller expliquer ma façon de voir les choses à cet esprit rebelle. — Écoute, tu ne diras plus un mot ! Pas un son ne sortira de cette petite bouche sans que je ne te le demande ! Ou alors demain, je te fais passer sous la machine à coudre. C’est compris ? Et lorsque je te serrerai les couilles comme ça, tu te retireras aussitôt, saisi ? À l’évocation de la machine à coudre, Amasank s’est mis à trembler nerveusement. Je suis pourtant sûr qu’il n’avait jamais entendu parler d’une telle machine avant que je ne le laisse prendre possession de mon sexe. Nous avons fait la même grimace lorsque j’ai empoigné mes noisettes. Il était d’accord, n’ayant pas vraiment le choix. J’espérais simplement qu’il tiendrait parole et saurait se contrôler. Lorsque je suis revenu dans le salon, j’étais nu, mon serpent multicolore dressé devant moi, agitant sa langue pour capturer les parfums enivrants qui émanaient du corps juvénile de la belle Melany et qui, grâce aux pouvoir du fétiche, me chatouillaient délicieusement les narines. Je me suis avancé, posant délicatement mes mains sur son visage, caressant doucement ses joues, son cou, ses épaules. — Doucement… Elle a dû croire que je m’adressais à elle, alors qu’en réalité je donnais enfin la permission à Amasank de partir à la découverte de cette créature qu’il était impatient de dévorer. Le serpent multicolore a commencé à ...
... s’allonger centimètre par centimètre, ondulant comme un boa pour se glisser le long des cuisses de Melany. La jeune fille a poussé un petit cri au contact de la langue serpentine contre ses chairs dénudées. Mes mains étaient sur ses épaules et pourtant quelque chose se glissait le long de ses cuisses, remontant sous sa jupe, déclenchant sur son passage de délicieux frissons qui venaient lui électriser la chatte. Tandis que je la caressais, sentant son corps trembler d’excitation autant que d’inquiétude, les saveurs salées recueillies par la langue d’Amasank envahissaient ma bouche. J’ai fermé les yeux, et j’ai pu voir au travers des orbites vides du chasseur achuar ! Voir cette cuisse brillante le long de laquelle je me glissais et cette petite culotte blanche vers laquelle je m’avançais lentement. J’étais sous sa jupe, je pouvais sentir les effluves puissants qui inondaient sa chatte et dessinaient une tache sombre au milieu du triangle de coton blanc. Jamais auparavant je ne m’étais imprégné ainsi du corps d’une femme. Je pouvais la sentir, la goûter de ma langue serpentine, découvrir ses arômes avec l’acuité sensorielle d’un esprit des forêts. Melany n’a pas tardé à gémir de plaisir, abandonnant son corps à un tourbillon de caresses. J’ai déboutonné son chemisier et libéré ses seins de leur cocon de dentelle. Je les ai pressé longuement entre mes doigts, tandis qu’Amasank frottait nerveusement son visage contre l’écran de coton humide de sa petite culotte, glissant sa langue ...