1. Ma Belle-mère et mes galipettes (1)


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Hétéro

    Ma belle-doche L’histoire remonte loin et n’avait rien de sexuel, les premières marques que je dirai d’intérêt se manifestèrent pendant des vacances, ou on était stationné à l’orée d’un camp de nudiste. Avec ma femme, nous mettant à poil, nous parcoururent le camp pour rentrer vers belle-maman, là, elle eut un regard intéressé en ouvrant de gros yeux en me voyant nu, mais sans autre commentaire. Il fallut attendre de nombreuses années pour un nouvel épisode. À une remarque, de je ne me souviens plus, je l’entends dire clairement, s’il y a un jeune qui soit d’accord, je lui saute dessus. Petite phrase qui reste un peu collée dans mon subconscient. Ma femme espaçant de plus en plus les séances coquines, me sentant un peu frustré, mais n’ayant pas du tout envie de me plonger dans les affres du divorce, je commençais à l’exciter en laissant sortir négligemment ma bite de ma cuissette* et là je revois ses yeux intéressés et me dévorant l’objet d’envie. En continuant la provocation, l’air de ne pas y prêter attention, je me masturbe, la faisant rougir de plus en plus. L’étape suivante, fut à l’occasion d’une de ses douches où j’avais à faire dans la salle de bain et qu’elle m’invite de faire ce que j’avais à faire, discrètement je jette un regard dans un miroir et m’aperçois que somme tout elle est encore parfaitement baisable. En parallèle, je me plains de sa fille qui me refuse de plus en plus souvent ce à quoi peut espérer un mari. Elle me dit qu’elle comprend et qu’elle ...
    ... compatit. Je lui dis que par exemple je ne peux que très rarement toucher ses seins. — Tu me permettrais que je touche les tiens ? Dis-je en joignant le geste à la parole. Elle ne fait pas vraiment un geste de recul et me laisse lui tripoter sa poitrine sans réprobation, il faut dire que mon épouse était à sa Nème visite de magasin, utilisant 2 francs d’essence pour gagner 10 ct. On peut ajouter à ceci que ma belle-mère est encore une belle femme, bien soignée. De plus en plus souvent, je faisais irruption dans la salle de bain au moment crucial, dès que mon épouse partait. Finalement, je n’y tiens plus et enlève mes vêtements pour la rejoindre sous la douche en présentant une belle érection. Devant le danger elle sort précipitamment, sans même éliminer le savon qui la recouvre, prenant juste son peignoir. Je profite pour me laver et met à mon tour un peignoir et je vais dans sa chambre et la trouve avec une petite culotte et la poitrine à l’air et l’air de se dire : « Pourquoi ne pas avoir saisi l’occasion », tombant à genoux, je me trouve la tête à hauteur de ses seins que je m’empresse de prendre en bouche. Elle n’a plus eu de réaction négative. Il faut dire que l’épreuve n’était pas très agréable pour moi, ses seins avaient encore le goût du savon, mais malgré tout je m’appliquais jusqu’à ce qu’elle me dise d’une voie tremblante d’arrêter que ma femme allait arriver. À partir de ce jour, je flirtais fréquemment avec elle, lui pelotant la poitrine, ce qu’elle appréciait bien, je ...
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