1. Ma Belle-mère et mes galipettes (1)


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Hétéro

    ... manger son abricot de long en large et une fois qu’elle a eu son plaisir, j’ai pris le mien. En finissant, je lui demandais : — Alors, c’était mieux que cette nuit ? — Oui, mais comme tu avais la photo de ta mère sur la paroi, j’avais l’impression qu’elle me faisait les gros yeux comme à une débauchée, comme si j’étais ta putain. — Mais en fait, maintenant, tu l’es. L’après midi, étant au jardin, je déterrais quelques patates et elle me dit : — Voila mon salaire. vcbvzzyo Après ceci, on passait régulièrement au plumard, dès que ma femme allait faire les courses, toutefois, ma belle-mère était parfois prise de remords, vis-à-vis de sa fille, même si celle-ci lui menait la vie dure. — Est-ce que tu m’aimerais toujours si on arrêtait de faire l’amour ? Évidemment, ceci ne faisait pas mon beurre, j’avais trouvé quelqu’un de disponible pour baiser, je n’avais vraiment pas envie de lâcher ma proie. — Non, pour moi, sans sexe, cela m’étonnerait qu’il y ait encore de l’amour. Je n’avais pas compris à l’époque que c’était une grande manipulatrice et qu’elle prêchait le faux pour avoir le vrai. Donc comme je le disais, d’une manière générale, ma femme menait la vie dure à sa mère et je pense que c’est ce qui la décida de m’accorder ses faveurs. Dès que quelque chose n’allait pas, c’était toujours de sa faute. Cela finit à faire presque l’occasion de plaisanterie et dès que mon épouse ne trouvait pas quelque chose, invariablement, je disais en me moquant : — C’est de la faute à ...
    ... grand-maman ! Vers la fin de l’été, elle repartit dans son appartement à …, évidement nous l’accompagnâmes et là, je lui fis remarquer : — Belle-maman, cela va être plus dur pour nos petites affaires. — T’en fais pas, ce n’est pas les occasions qui vont manquer. Il y a aussi des magasins ici. Cela n’a pas manqué, le lendemain de notre arrivée, mon épouse partit à nouveau aux provisions, sans me demander de l’accompagner. Derrière la vitre, les rideaux tirés, nous observions son départ, moi, mes mains sur ses seins, lui pelotant les tétons. Dès que le bus disparu, j’ai tout d’abord bloqué la porte pour éviter toute mauvaise surprise en laissant en plus ma clé dedans et pendant ce temps, elle se préparait en enlevant tout ce qui m’empêchait d’avoir accès à ses trésors. Là au cours du léchage habituel, elle se tendit, vraiment comme un arc et son pubis appuyait fortement sur ma bouche, à en avoir mal aux mandibules, puis exceptionnellement, je mis très longtemps à avoir mon orgasme à mon tour. Elle me confia à la suite : — Aujourd’hui, ce fut exceptionnel, je n’ai joui que peut-être deux fois ainsi dans ma vie. Inutile de préciser que j’étais fier comme Artaban, car d’une part, d’après mes connaissances, ma belle-mère avait eu une vie sentimentale assez chargée, alors d’avoir été exceptionnel me remplissait d’orgueil. Finalement rétrospectivement, je me demande s’il n’y avait pas un peu de manipulation, car je sais qu’elle aimait vraiment bien nos petits jeux et avait peut-être peur de ...