1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1117)


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... clitoris, descendit en dessous, forçant un peu l’entrée de ma grotte merveilleuse, et s’y enfonça doucement, très doucement, me laissant le temps de m’ouvrir et m’adapter à la taille importante de la bite du Majordome. Enfin, il glissa en moi et à nouveau, sentir ce bâton si gros, si chaud, glisser en moi, envahissant totalement mon espace vaginal, l’écartelant même, me donna de tels frissons d’envies que je l’aidai, par de petits coups de bassin à s’enfoncer encore plus en moi… Alors qu’il était aux trois-quarts entré, la sensation d’emprise que j’avais, de possession en mon corps chaud de désirs, était telle, que d’un coup de cul je m’enfonçais entièrement sur lui, jusqu’au fond me faisant relever la tête violemment dans un : - Ahhhh c’est bon Monsieur Walter ! Surpris, le Majordome accéléra alors comme un forcené, avec de tels coups de reins virils et puissants qu’à chaque fois il m’envoyait sur le lit, il me retenait par les épaules pour m’empêcher de lui échapper… Il me labourait violemment, me secouait en tous sens, devenant une barque sur la mer déchaînée, je sentais ses couilles battre mon clitoris en un rythme régulier… je hoquetais… je bavais… ma vue se brouillait… mes seins remuaient en tous sens n’avais plus qu’une envie : jouir, mais Walter en fin limier, savait faire durer le plaisir au point de rendre complètement folle et malléable la femelle qu’il travaillait… Alternant les cadences, les enfoncements profonds et vifs, les forces de pénétrations, il me ...
    ... conduisait là où IL voulait m’emmener… Je devenais son objet de luxure et j’aimais cette sensation d’objet… De temps en temps, il ressortait complètement de ma chatte et je m’entendis dire tout haut : - Noooon, encoooore ! Il riait alors, et sans avertissement de sa part, s’enfonçait, entièrement, jusqu’au fond de ma vulve trempée, me faisant gémir encore de plaisirs, puis hurler d’envies de jouissances fortes, tant il prenait son temps… Enfin, je sentis que la fin arrivait, ses coups de reins toujours plus forts, puis violents, me relevant du lit, jusqu’à devenir explosifs même… mes fesses suivaient le massage imposé par le bas-ventre de Walter, ses couilles tapaient fortement mon clitoris, la jute n’étais pas loin, moi, je n’en pouvais plus d’attendre, quand soudain, je sentis que son gland durcit puis envoya ses jets de sperme chaud qui vinrent cogner dans mon fond vulvaire. Ces cognements me firent exploser… en des cris de bêtes achevée… je donnais des coups de pieds en arrière, des coups de cul sur sa bite, des coups de reins, je redressais mon torse, l’allongeais à nouveau sur le lit, le relevait encore et encore, tournant la tête en tous sens, mes bras battant l’air les yeux révulsés, la bouche ouverte et laissant s’échapper la salive… Je n’étais plus là, mon esprit était parti ailleurs, seul mon corps vibrait sur une telle fréquence que tous mes muscles de femelle se trouvaient tétanisés, tendus à l’extrême… j’avais la chatte en feu, et la lance du Majordome, après quelques ...