1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1117)


    Datte: 18/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... secondes de répit se remit en marche…. Ce jour-là, Walter me baisa trois heures d’affilée… trois heures d’anthologie pour moi, et exténués tous les deux, nous nous sommes affalés sur le lit…. le Majordome sur le dos, et moi sur le ventre, à ses côtés, à moitié posée sur lui, ma cuisse gauche sur ses jambes ainsi que mon bras gauche en un geste d’affection, comme deux amants enlacés… Nous dormions ainsi lorsque Maître entra et ce qu’il vit le ne lui plut pas du tout, mais, vraiment pas du tout ! Il ne dit rien ! Prit un siège, s’assit confortablement puis, fit sonner un réveil ! Le Majordome fut le premier à se réveiller, et à reprendre conscience de notre état prit mon bras, se releva d’un bond à la vue de son patron, Monsieur le Marquis. Il se rendit compte qu’il avait encore son sexe dehors, tandis que moi, toujours couchée sur le ventre, fesses bien marquées et en pointe, cuisses ouvertes, je me vidais de ma chatte où s’écoulait le foutre de Walter… Une grosse tâche de foutre avait marqué le dessus de lit et la couette… - Monsieur le Marquis, je crois que je me suis endormi, veuillez m’en excuser, dit tout penaud Walter. - Il me semble, en effet, mon ami, il me semble…. Sais-tu l’heure qu’il est ? 21H15, Walter ! 21h15 ! Le banquet est pour 21h30 ! Tu devrais être prêt et Ma petite chienne aussi, non ? Walter, c’est la première fois que je te trouve ainsi, en si bomme compagnie comme un petit couple qui vient de se retrouver Le Majordome ne savait plus où se mettre ...
    ... présentant de nouveau ses plates excuses tandis que moi, je dormais du sommeil, béate, repue… Tout d’un coup, je fus réveillée par un coup de canne sur les fesses, de la part du Noble, coup si fort, que je bondis du lit, quelques secondes… ailleurs… même la vue du Maître ne me fit pas « revenir » très vite… assez malheureusement pour m’entendre dire : - Petite salope, tu me le paieras, sois-en assurée ! En une seconde, je revins sur terre, et je compris, mais un peu tard tous les sens des mots dits par le Châtelain. Walter donna ses ordres énergiquement, comme pour se racheter et montrer à son patron qu’il reprenait les choses en mains : - File prendre une douche, salope, et plus vite que ça, nous allons être en retard… Le Noble ne bougeait pas, toujours assis sur sa chaise, ses mains posées sur le pommeau de sa canne, semblant même enjoué de ce qu’il venait de voir et de son coup de canne. Je filais vers la douche et jamais de ma vie, celle-ci fut aussi rapide… Quelques rectifications de maquillage, par chance, ma tenue du soir était prête, j’enfilais rapidement bas, porte-jarretelles, escarpins, et la sublime robe prévue pour la circonstance… en taffetas noir, échancrée devant, jusqu’en dessous des seins, derrière jusqu’en bas des reins, montrant le début de ma raie culière… fendue ensuite devant derrière, et sur les deux côtés des cuisses, laissant se mouvoir les pans au grès de mes mouvements, dévoilant aux yeux des Invités à la fois mes jambes galbées et mes intimités… Le ...