1. Job d'été


    Datte: 18/01/2020, Catégories: f, fh, hplusag, sauna, hotel, Masturbation massage, confession,

    ... que ce soit, ouvrit légèrement l’attache sommaire de ma serviette et commença à la descendre le long de mon dos. Je ne pus réagir, j’étais comme tétanisée. Il la descendit jusqu’aux bas de mes reins offrant à sa vue mon dos dénudé. Il continua son massage par le haut du dos tout en continuant à me raconter ses anecdotes. Je me laissai aller, à présent, entendant à moitié ses dires et appréciant de plus en plus son procédé. Je courbai le dos et lui aussi à son tour imitant ma position afin de m’appliquer de la meilleure façon possible son traitement. Ses jambes, à présent, complètement collées aux miennes et du fait de la chaleur moite nous transpirâmes ensemble peau contre peau. Une fusion des sécrétions de nos peaux avec cet autre contact envahissant peu à peu toute l’étendue de mon dos. Curieuses impressions étayées par ses explications. — Vous ressentez toute la force de cet endroit. Il vous envahit de son âme bienfaitrice, il prend peu à peu possession de vous. Ce gant a un effet salvateur et vous revigorera pour longtemps. Je ne lui répondais pas, profitant toujours plus de mon état, et soupirant d’aise. D’ailleurs il n’attendait pas de réponses et continuait son monologue. Il arriva, après un temps qui me parut infini, au bas de mon dos. Il saisit ses accessoires posés à côté de nous, versa quelques gouttes d’huile dans le seau d’eau, et commença à mélanger avec le bâton. — Après le feu, l’apaisement ! Kessa vous a travaillé tout en profondeur mais il est un peu brut. ...
    ... Il est maintenant temps d’être tout en douceur avec votre peau, douce demoiselle. Il trempa ses mains dans le seau et les déposa sur mon dos en m’effleurant délicatement. Ses mains, en comparaison de Kessa, me parurent très soyeuses. Il parcourut tout mon dos de la sorte en prenant tout son temps, les trempant régulièrement et revenant sur son terrain d’application. J’appréciai, ma peau devint toute lisse sous ses caresses et le glissement de ses doigts très aisés, sans obstacles d’aucunes sortes. — Vos pores sont tout neuf à présent. Vous avez la peau d’un bébé ! Puis, tel un gentleman, il remit en place ma serviette sur le dos et je pus la rattacher comme avant. — Je vais passer à vos jambes. Ce gant n’en a pas encore fini avec vous, il doit continuer à vous prodiguer ses bienfaits partout où il le pourra Il retira ses jambes et se leva pour se poster en face de moi avec ses accessoires. Ça me fit bizarre de le voir ainsi seulement vêtu de sa serviette. Et moi, dans le même accoutrement, rougissante. Je me réajustai comme je pus en serrant les jambes pour qu’il n’ait pas une vue plongeante sur mes cuisses. Il reprit en main son gant et s’agenouilla en face de moi. — Reculez un peu, s’il vous plaît Mademoiselle. Il faut à présent que monsieur Kessa officie sur vos jambes. Il ne me laissa pas le choix, m’aidant à reculer en poussant avec ses mains mes genoux puis, étirant mes jambes et me poussant les pieds de sorte qu’eux seuls restent en suspension. L’îlot central où je me ...
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