1. La maman dévergondée, 4° partie


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Mature,

    Au cours des épisodes précédents, nous avons vu comment ma mère a sollicité l’une de ses amies pour que je quitte les rangs des puceaux ; à dix-huit ans, il était temps. J’ai refusé de faire d’elle ma compagne de sexe, mais elle, de son côté, n’a pas renoncé…Le lendemain de ces fameux ébats, au petit déjeuner, elle avait les larmes aux yeux. Chagrin d’un désir insatisfait ? Je l’ai accueillie d’un simple baiser sur la joue, sans doute bien trop chaste pour elle. Elle avait la mine défaite, des poches sous les yeux, et dans sa robe de chambre, sous sa chevelure défaite, elle sentait fort la sueur et la cyprine. Probablement, elle s’est branlée toute la nuit dans son lit trop grand pour elle depuis le départ de Papa.– Je te demande pardon, Stéphane, pour les avances que je t’ai faites. Tu es mon fils chéri et je ne mérite pas d’être ta maman : je suis une obsédée, une nymphomane, une s…– Tais-toi ! Arrête de te dévaloriser tout le temps. Toi aussi, tu es ma maman chérie et je t’aime comme tu es. D’ailleurs, je suis le dernier à te reprocher d’aimer le sexe. Il faut juste que tu te trouves d’autres partenaires que moi, qui suis ton fils.– Tu as raison, et pourtant, je ne peux pas m’empêcher d’avoir envie de toi, jusqu’à devenir folle. Toi qui étais jusqu’à hier un garçon innocent, je suis en train de faire de toi un obsédé sexuel. J’ai honte. Je mérite d’être punie.– Punie comment ?– Tu devrais m’attacher par les poignets, prendre un fouet et me flageller jusqu’au sang.J’ai ...
    ... éclaté de rire.– Ce serait une punition qui aurait des allures de satisfaction de fantasme masochiste, non ?– Oui, tu as raison… je ne suis pas raisonnable… je devrais travailler au lieu de penser tout le temps au sexe, avec des pensées sales et perverses qui sont tournées vers toi. Mais il faut quand même m’infliger un châtiment qui soit suffisamment sévère pour que je ne recommence pas.Elle a regardé vers le bas, un doigt dans sa bouche, comme une petite fille prise en défaut d’avoir dit une bêtise et attendant sa fessée avec une gourmandise perverse. Un regard empli à la fois de tendresse et de dépravation, le tout accompagné des odeurs de luxure féminine qui émanaient de son corps ; tout cela me troublait, et j’étais tout prêt de céder à se demande. Elle m’a regardé d’un œil suppliant.– Alicia est une femme très belle, ai-je dit, et j’ai beaucoup aimé ce que nous avons fait ensemble. Elle peut revenir quand elle veut.– Je lui proposerai. En attendant, si tu veux… enfin… je n’ose pas trop te dire…– Dis toujours ! Je te promets que je ne me moquerai pas de toi, ma Maman chérie !– Que pensent tes copains de moi ?– Les quelques-uns qui t’ont croisée trouvent que tu es une femme très belle. Ils ont parlé de toi en des termes pas très élégants – tu imagines sans doute lesquels, mais à leur âge, il faut leur pardonner - mais qui disaient aussi ton pouvoir de séduction sur eux. Certains même te voient comme une sorte de déesse Aphrodite, aussi belle qu’inaccessible, le fruit juteux ...
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