1. La maman dévergondée, 4° partie


    Datte: 18/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou Mature,

    ... et mûr, la Femme cueillie à maturité.– Eh bien, voilà… J’aimerais m’offrir à trois ou quatre d’en eux comme esclave sexuelle, le temps d’une journée. Ils feront de moi ce qu’ils voudront. Ils sont en forme et en bonne santé, non ? J’espère qu’ils vont se déchaîner et que ce sera un moment de folie. Je veux souffrir sous le joug de leur virilité… Oh, j’en mouille d’avance ! Tu veux bien que je me caresse devant toi, en attendant que tu les fasses venir ?Sans attendre ma réponse, elle a retiré sa robe de chambre sous laquelle elle était nue, s’est allongée sur la table du petit-déjeuner, et a plongé ses doigts dans sa chatte qui ressemblait à un marécage. Quand elle me l’a demandé, je lui ai passé le pilon qui sert à préparer la mayonnaise, et son vagin a englouti l’ustensile. Elle s’exhibait en écartant les cuisses avec une souplesse étonnante, le grand écart, afin que je puisse tout voir de sa fleur intime et poilue, ouverte au maximum, le tout dans un déferlement de parfums féminins qui se mêlaient à celui des tartines de pain grillé. Je l’ai regardée faire en finissant tranquillement mon café, et en me gardant bien de la toucher, même si elle me suppliait de céder à son désir. Je refusais cette union contre nature. Même si je n’en bandais pas moins…Ensuite, nous avons regardé ensemble un porno, ...
    ... affalés sur le canapés, nus tous deux, mais sans nous toucher. Un film de bondage et de domination qu’elle avait acheté au marché, avec un scénario se déroulant du temps des Romains, ultra violent. Une femme, incarnée par une actrice blonde aux seins généreux, subissait l’initiation sexuelle des prêtres d’une sorte de secte immonde où les pires débordements étaient permis, à l’ombre d’idoles de pierre grimaçantes. Moi, je préférais les scènes de tendres lesbiennes qui se sucent le clito et se bouffent la chatte à n’en plus finir, avec des orgasmes non simulés de préférence. Le jus de betterave n’était pas très réaliste en guise de sang, mais il coulait à flots sur les marches du temps antique. L’héroïne a fini par être crucifiée sous les hourras de la foule qui partouzait avec conviction. Il y avait ensuite d’autres scènes, encore plus glauques.– J’aimerais bien subir ça, a-t-elle murmuré en fourrant des doigts dans sa chatte. Tout le monde la regarde. Ça doit être terrible !Maman a utilisé ses boules de Geisha et a joui comme une dingue, plusieurs fois. Je n’ai pas regardé avec elle jusqu’à la fin, et je suis sorti faire un tour dehors, pour respirer de l’air frais, en me disant que décidément, ma mère était devenue dingue et que ses désirs foutraques étaient en train de me contaminer.À suivre… 
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