1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (12)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pour éloigner les pensées sexuelles, ma queue gonflait inexorablement, jusqu’à devenir raide et dure comme une barre d’acier. Les yeux des Amazones roulaient de plaisir ; elles se délectaient de notre situation. Mon cousin éprouvait lui aussi des difficultés à maintenir sa non-érection. Les deux guerrières nous dévisageaient ; Justine se léchait les lèvres, Colombe se touchait l’entrejambe à travers son minuscule string. Cette vision était une véritable torture ! J’évitai de me toucher le gland, car si je continuais, c’était l’éjaculation assurée. Je remerciais la déesse Amazone quand Colombe ouvrit sa jolie bouche pour demander : — Votre Altesse, puis-je vous demander une faveur ? — Que veux-tu, belle guerrière ? — Comme nous devons bientôt partir, je voudrais connaître un plaisir qui est, selon les dires des dieux, exceptionnel. Voilà que la cousine se prenait au jeu... « Qu’a-elle bien pu trouver comme connerie ? » J’avais l’esprit en ébullition. — Eh bien, quel est ce désir ? demanda la chef des mantes religieuses. J’espérais qu’elle n’avait pas envie de nous bouffer ; en attendant, c’était moi et Charly qui avions les crocs. — Voilà, j’aurais souhaité avoir la plus grande jouissance que je n’ai encore jamais eue : me faire prendre par les trois orifices. — Moi aussi ! trépigna la seconde guerrière, Justine. — Très bien. Les deux statues, commencez par vous nettoyer et allez manger. Prenez des forces ; vous allez en avoir besoin. Vous avez intérêt à assumer, ...
    ... autrement on vous transforme en eunuques ! C’est compris ? Devant une telle autorité, nous ne pouvions qu’exécuter les désirs de ses dames. OK. Tout d’abord, nettoyage ; nous n’avions été autorisés qu’à utiliser le jet d’arrosage du jardin. Le chef tenait l’outil ; sous la pression de l’eau et le frottement des éponges, la peinture disparut peu à peu. Se faire laver au jet devant ces espèces de tigresses avait un côté un peu humiliant. Imaginez-vous, à poil en public, un jet puissant vous aspergeant, et trois gonzesses qui n’arrêtaient pas de scander des ordres comme : « Et la bite ? Vas-y, arrose-leur les couilles et le trou du cul aussi, et que ça brille ! » Ensuite, casse-croûte ; une pizza surgelée et cuisinée avec amour nous rendit les forces nécessaires pour affronter une nouvelle épreuve qui s’annonçait savoureuse ; enfin nous allions niquer. La surprenante demande de Colombe avait transformé notre vit flasque et démotivé en un joli bâton bien raide, paré à satisfaire les envies les plus folles de ces trois soi-disant Amazones. Les filles avaient trop d’imagination, ou trop lu de bouquins de cul ; sans doute que la collection des romans de Sade présente dans l’atelier y était pour quelque chose, à moins qu’elles mataient les vidéos de cul sur Xhamster. Elles venaient de nous faire une démonstration assez explicite sur leur envies. Maintenant, s’il fallait leur mettre un ou deux coups de bite, pour nous – mâles accomplis, obsédé et queutards – ce n’était qu’une question de ...
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