1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (12)


    Datte: 19/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Ch12. Esclaves de trois Amazones. En cette fin d’après-midi, la tournure des événements avait été des plus surprenantes. Moi qui croyais transformer mes cousins en esclaves, j’étais le dindon de la farce. Maigre consolation, Charly avait été aussi maltraité que moi. Les deux cousines qui se prenaient pour des Amazones en guerre, et en plus avec la complicité de maman, autoproclamée reine de cette nouvelle tribu. Charly et moi étions plantés devant elles, à poil, attachés l’un à l’autre, le trou du cul encore endolori par le gode-ceinture. Nous attendions que son Altesse veuille bien statuer sur notre sort. Que pouvaient-elles bien nous réserver ? Je savourais avec délice cette situation, très théâtrale, à l’avenir incertain. Avec Justine, nous avions souvent fait des jeux de rôle agrémentés de défis des plus farfelus, mais sans aller aussi loin que ça. La voix claire et autoritaire de son Altesse la reine brisa le silence ; elle nous désigna du doigt et ordonna : — Bien. J’ai réfléchi à la situation et j’ai décidé que, comme nous n’avons pas de serviteurs pour ce soir, nous allons utiliser ces deux-là. — Bien, votre Altesse. Que dois-je leur faire ? interrogea la guerrière Justine. — Détache-les ; ils vont préparer le repas de ce soir et feront le service. Pendant que nous mangerons, ils se donneront en spectacle ; mais nous verrons cela le moment venu. Je tentai une question : — Et... — Et quoi ? Si c’est pour savoir quand et ce que vous mangerez, ce sera en fonction de ...
    ... votre prestation. Dites-vous bien que vous êtes, jusqu’à nouvel ordre, nos esclaves. Et vous avez le droit de garder le silence car tout ce que vous direz se retournera contre vous et aura des conséquences sur vos fesses. L’avis était clair : en plus d’être leurs esclaves, nous devions aussi la fermer, quoique pour prendre une fessée... Qu’allait-il nous arriver ? Charly et moi, pris par le jeu, baissions humblement la tête. La reine continua en s’adressant à nous : — Faites très attention à vous : ici, chez nous les Amazones, nous ne gardons que les plus beaux mâles pour nous permettre de nous reproduire ; ils doivent être capables de ne faire que des filles. Regardez ces deux belles créatures : ce sont mes filles, et voici leur géniteur. Il vous faudra être à la hauteur sinon on vous mangera, comme le font nos amies les mantes religieuses. Et maintenant elles veulent nous bouffer ; je ne savais pas si papa leur avait mis un produit dans leur champagne, mais maman avait carrément pété les plombs. Malgré tout, je trouvais ce jeu assez rigolo ; un coup d’œil à mon cousin : il était à la limite du fou-rire. Les filles, la laisse à la main, nous emmenèrent de force vers la cuisine. J’en profitai pour les questionner : — Ho, les filles, maman a pété un câble ou quoi ? — Je ne sais pas, mais je trouve ce jeu très drôle et excitant, pas vous ? Maintenant, c’est notre reine qui gère, et je crois qu’on va bien s’amuser. Pas vrai, Coco ? Allez, esclaves, faites-nous à manger ! Les filles ...
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