Les Plaisirs du Bourg
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Lesbienne
... c’est tout à fait charmant et t’évitera d’attraper un cheveu sur la langue. A-t-elle bon goût au moins ? Levant les yeux au ciel, Kirsten, d’un air pénétré, promène le bout de sa langue sur ses lèvres, avale une goulée d’air, piaffe exagérément, claque la langue comme si elle goûtait un bon vin : — Délicieux ! Cette mouille a de la cuisse ! Que dis-je, de l’entregent, pardon, de l’entrejambe ! C’est un bon cru, et abondant qui plus est !— J’y goûterais volontiers, s’exclame Soren qui abandonne sa position, se retourne prestement et aussitôt plonge son nez entre les cuisses ouvertes. Dame Kirsten abandonne un instant les deux femmes désormais tête-bêche pour se dévêtir à son tour. Grimpant sur le lit, elle s’y allonge en travers et, gourmande, reprend ses caresses buccales sur la fente juteuse de Sylvette. Soren, délogée, s’allonge elle aussi en travers, offre encore son maljoint bien bâillant à Sylvette et porte sa bouche avide sur le minou de sa cousine. Toutes trois allongées sur le flanc, jambes gauches en l’air, les jeunes femmes forment un charmant triangle lascif duquel ne tarde pas à s’échapper soupirs alanguis et plaintes satisfaites. Les lèvres impatientes butinent les corolles écloses de leurs sexes échauffés, les langues lapent le nectar, s’affairent à débusquer les boutons d’amour, s’insinuent aux portes des grottes enflammées. Les mains s’égayent sur des hanches accueillantes, des ventres creusés par le désir, des seins gonflés de sève. Les trois femmes se ...
... gourmandent, se cajolent, s’épuisent de tendresses, s’enivrent de caresses, de frôlements et pincements insidieux. Le tendre jeu durera longtemps. Sylvette et Soren, joyeuses complices, s’emploieront à débarrasser la jeune comtesse de toutes ses pudeurs. Tournée et retournée en tous sens et positions indécentes, Kirsten sera tour à tour bâillonnée par une chatte brûlante, asphyxiée par une bouche gourmande, dominée par une langue impérieuse, les seins frôlés, pétris, pincés, les cuisses écartelées, la chatte exposée, branlée, caressée, fouillée, pénétrée par des doigts indiscrets et habiles, les fesses cajolées, pétries, griffées, le cul flatté, léché. Et lorsqu’un pouce téméraire plongera sans ménagement dans l’étoile plissée de son fondement, Kirsten connaîtra un plaisir violent, l’expédiant, honteuse, mais ravie, vers les cimes éclatantes d’un scandaleux orgasme. Le corps soûlé, anéanti de caresses, Kirsten subira encore avec délice et entrain les assauts incessants de ses tendres tortionnaires, abandonnera toute retenue et comblera à son tour avec force et imagination ses accortes complices. Lorsque repues, rompues, échevelées, anéanties, les trois femmes s’abandonneront, tendrement pelotonnées entre elles, l’ombre déjà aura commencé à ramper dans la chambrette… La salle, longue et étroite, n’est éclairée que par un seul cierge à chacune de ses extrémités. Impossible dès lors de distinguer aucun détail avec précision. D’ailleurs, qu’y aurait-il à voir : une grande table ...