1. Les Plaisirs du Bourg


    Datte: 19/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Lesbienne

    ... partirions qu’à la nuit tombante…— Allons vantarde, n’exagère pas, tu ne me feras pas accroire à la fable de l’amant infatigable qui vous honore sans répit toute une nuit durant !— Sans répit, toute la nuit, certes non ! Mais tout de même !— Brisons là, joyeuse perverse ! Tu me feras tes confidences plus tard. Et maintenant, debout, avant que je ne cède à la tentation et ne m’en vienne grignoter les fraises de tes seins pointus. Pour le coup, alors, nous ne partirions plus du tout… Soudain sérieuse, Soren implore : — C’est que… je n’ai guère envie d’aller à la ville aujourd’hui…— Et mon Dieu, qu’aurais-tu donc de si important à faire ici qui t’empêcherait de m’accompagner ?— Rien, avoue la jeune femme embarrassée, il y a juste que…— Je ne te comprends pas : c’est bien toi hier qui me disais vouloir aller au bourg dans l’après-midi et même, y passer la nuit ! Pour quelle obscure ou inavouable raison, je ne sais ? Mais puisque c’était là ton désir, eh bien soit, allons au bourg et passons-y la nuit. La jeune veuve remarque bien l’embarras de Soren, mais ne veut pas insister : elle ne connaît que trop l’entêtement de sa parente. Tête dure, aussi dure que la sienne. Mais compagnie si agréable. Kirsten est heureuse de sa présence auprès d’elle depuis quelques mois, cette amie presque sœur, enjouée et maligne, qui l’a réconfortée et distraite, sortie de sa solitude et prodiguée d’ardentes consolations. Et si désormais, un certain chevalier lui fait découvrir d’autres ...
    ... distractions, Kirsten n’en apprécie que davantage sa très coquine parente toujours prête à lui dispenser conseils et précieuses expériences. — C’est que je souhaitais ce soir m’étourdir un peu dans quelque fête dansante où, explique-t-elle en forçant le trait, une dame de votre qualité, tant fraîche veuve de surcroît, serait malvenue d’apparaître…— J’entends ! J’entends bien et comprends surtout que tu n’auras aucune honte à me laisser seule ce soir, à me morfondre à l’auberge.— C’est bien pourquoi je comptais aller seule au bourg. Mais…— Brisons là ! Nous partons au plus tôt, je ne te laisse pas le choix. Un mot encore, et je te fesse pour ton impertinence ! Vaincue, Soren fait mine de protéger ses fesses. Riant de leur complicité, les cousines quittent le lit, l’une poursuivant l’autre jusqu’au baquet des ablutions. Les deux jeunes femmes se ressemblent étonnamment : enfants, elles usaient de leur ressemblance pour abuser leurs nurses, précepteurs et même leurs parents. Et en grandissant, ces fausses jumelles ne sont pas déparées. Si Soren ne portait pas les cheveux courts, rares seraient ceux qui aujourd’hui encore pourraient la distinguer de Kirsten. Laquelle, à cet instant, arrose copieusement sa cousine avec l’eau glacée du broc. Elle la frotte avec ardeur avec un gant de crin qui lui fait rougir la peau. La toilette est joyeuse, mais plutôt expédiée ; rapidement séchée, Soren se glisse prestement dans unbliaud ⁽¹⁾ en lin écru qu’elle agrémente d’un surcot grenat. Une tenue sobre ...
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