Mari trop jaloux
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
jalousie,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... chapeautée puis lentement couverte lorsque Maryse déroule la capote. C’est dans un mouvement de cette sorte que l’on découvre la taille de l’engin, au nombre de tours qu’il faut pour le recouvrir. La pharmacienne avait eu un sourire et ne m’a pas cru lorsque j’ai demandé la plus grande taille. Elle n’avait pas XXL, mais XL seulement. « On ne m’en a jamais demandé » a-t-elle ajouté d’un ton qui me semblait bien peu professionnel, et je me suis dit que je devrais lui envoyer Éric. Le mandrin est protégé. Maryse s’est relevée. Je la vois enjamber l’homme, poser ses genoux de part et d’autre et venir se placer à la verticale de la bite que déjà elle guide de la main. Je ne veux pas rater le spectacle et vais m’asseoir à côté d’eux. Que c’est beau cette femme qui va se faire posséder. Que c’est beau ce gland qui se place juste en face. Cette chatte dont les lèvres s’ouvrent sous la poussée. Les premiers centimètres disparaissent assez vite. C’est facile pour eux, car ma bite leur a préparé le terrain. Mais c’est encore plus beau pour la suite. La femme dressée, les yeux fermés, les mains qui se caressent les seins et tord ses tétons, comme si elle voulait détourner son attention de ce qui se passe en bas. Mais les soupirs, le « ohhhhh » sans fin ne peuvent mentir alors qu’ils accompagnent la lente disparition de la queue. Voilà c’est fait. La belle est assise sur les cuisses d’Éric. Elle paraît surprise d’avoir réussi cet exploit et son ventre qui bouge lentement semble en ...
... comprendre la réalité. Je suis à côté, mais elle ne me voit pas. Maintenant c’est Éric qu’elle regarde alors qu’elle ondule sur lui, puis qu’elle commence les longs mouvements sur l’engin qu’il lui offre. Elle se penche sur lui, les bras en appui afin de se baiser langoureusement. Moi, je me lève. Par-derrière, la scène est encore plus belle. Voir la longue tige apparaître et ne jamais quitter totalement la tiédeur de la grotte. Le petit cul m’attend. D’un geste je force la pute à s’allonger sur son amant. Tout m’est dévoilé et je me penche. Ma langue joue avec l’anneau, le titille, l’apprivoise. Il est déjà humide de ma salive, reconnaît son envahisseur d’hier, mais autre chose m’attire. À portée de langue ! À portée de bouche ! À portée de main ! Je ne résiste pas au plaisir de la découverte. Lécher le peu de tige qui n’est pas au chaud. Caresser les couilles. Elles sont douces, gonflées, pesantes. Je ne me sens pas "homo", mais juste curieux. Curieux, mais aussi admiratif. Je ne sais si Maryse sent ma curiosité, mais toujours est-il qu’elle bouge assez pour que la bite soit libérée. Alors je fais ce que je n’aurais jamais pensé être capable ni même avoir imaginé. Je pose mes lèvres sur le bout. Il sent l’odeur de la femelle. Je m’essaye à le gober un peu plus. Pour la première fois de ma vie, je suce un homme. C’est chaud, vivant, palpitant. Bien vite le gland heurte le fond de ma gorge et je comprends pourquoi ce n’est pas si facile de pomper une belle bite. Que pense Éric ? ...