Mari trop jaloux
Datte: 22/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
jalousie,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... A-t-il de la réticence à se faire pomper par un mec. Je ne le vois pas. En tout cas il ne se refuse pas. Au contraire, de petits coups de reins montrent qu’il veut se faire gober encore plus. Je joue à la salope encore le temps de quelques montées et descentes. Et puis je reviens à la réalité. Je guide la femme afin qu’elle revienne s’empaler. Moi, je suis chaud bouillant, même pas honteux de ce que je viens de faire, au contraire. Ma bite se place toute seule. Je cherche un moment le bon appui entre les corps de mes partenaires. Et puis, je pousse. Je pousse. « Ohhhhh », dit la femelle. « C’est gros », constate la pute. Mais non, ce n’est pas gros ! Hier, ton cul n’a pas protesté de mon invasion ! C’est juste que la grosse bite d’Éric refuse de me céder la place. Mais je l’apprivoise et ma queue rampe contre la sienne, bâton que si peu sépare du mien. Nous ne faisons plus qu’un. Parfaite communion des corps. Doublement possédée, cette femme ne s’appartient plus. Elle est notre jouet. Mais un jouet plein de vie. Et si nous lui laissons le choix des mouvements, c’est afin qu’elle se sente pleine de nos queues. Bâtons durs, mais flexibles, lui permettant toutes les audaces, toutes les contorsions. Mais ce petit jeu à ses limites. Les miennes arrivent et j’impose un instant mon rythme. Je laboure ce cul ouvert, mais qui débouche dans une grotte étroite. Je me frotte à la queue d’Éric et c’est bon. Je m’active ...
... avec entrain. Chacune de mes poussées fait bouger mes partenaires. Enfin je sens que ma sève monte. Je m’immobilise, enchâssé au plus profond et déverse enfin tout ce désir accumulé. Je souille à nouveau les entrailles de Maryse. Je me sens libre, libre de crier ma jouissance par des « C’est bon ! C’est bon ! Quel cul ! » Et puis je me retire, guettant cet instant où mon foutre apparaît. Mais Maryse en veut plus. À peine libérée de la cheville qui limitait ses mouvements elle se baise sur Éric. C’est une cavalière qui saute les obstacles, enchaînant les figures, retombant sur les cuisses de sa monture, tirant des gémissements à l’homme qu’elle chevauche. Et puis la jouissance arrive. Tous deux cherchent à la rendre synchrone. Je dois féliciter Éric de savoir se retenir ainsi et apporter son édifice à celui de la femme. C’est beau ce sourire et ces yeux brillants. Aucune parole ne pourra jamais remplacer cela. Maryse est heureuse, comblée par ses deux amants. Mais ce n’est que le début. Deux amants qui vont la combler pendant toute cette journée. Le lendemain c’est une inconnue que je croise dans le couloir et qui part avec sa fille. Adieu, belle Maryse. Je te souhaite tout le bonheur possible. Ton mari ne te mérite pas et cette infidélité de deux jours, c’est par sa faute. Ne te sens pas coupable. ---------------------------------- Mais, alors que je pensais avec nostalgie à cette aventure, je reçois ce message :