Sex game - Histoires de Sexe

Sex game

... restons immobiles un moment, puis il défait nos serviettes, les laisse glisser au sol. Il pose ensuite ses mains sur mes fesses, caresse doucement ma peau, descend sur mon sexe, le frôle, l’écarte doucement. Je suis envahie de plaisir, je prends sa verge dans ma main, la porte lentement à ma bouche, la décalotte. Joli morceau ! Je passe d’abord mes lèvres, puis ma langue sur le gland. Je le sens qui tressaille, ses doigts dans mon fourreau se crispent, je sens qu’il mouille lui aussi et je goûte à sa liqueur. C’est légèrement salé, j’en avale un peu. Je fais aller et venir plusieurs fois mes lèvres sur toute la longueur de sa verge, mordille un peu, remonte titiller le frein, aspire le gland avec délectation, fais jouer ma langue sur le méat. J’en veux plus, mes lèvres descendent lentement, emprisonnant la virilité. Alors, je serre un peu les dents. Laurent se cambre, mais il continue ses caresses qui me rendent folle. Ses doigts se retirent, remplacés par sa langue. Une chaleur envahit mes reins. Elle passe sur mes lèvres, se déplace doucement vers mon clitoris, soulève doucement son capuchon et commence à titiller mon bouton. Le plaisir me submerge, ses doigts sont revenus me caresser, c’est délicieux, mon corps est secoué de spasmes de plus en plus violents. … et soudain, c’est l’explosion, un tourbillon de plaisir me submerge, je jouis longuement. Encore étourdie de plaisir, je reprends la verge que j’avais lâchée et entreprends de finir mon amant, lui donner autant de ...

... plaisir qu’il vient de m’en donner. OoO Grand silence dans la salle ! OoO RÉMY : Anna est venue à mes côtés, a glissé sa main dans la mienne. Intuition féminine. Le spectacle est à présent terminé. Les deux amants se lèvent, Monica retourne s’asseoir à sa place, les yeux dans le vague. Elle n’ose pas me regarder. Laurent va s’asseoir en bout de canapé, loin de nous. Quelques murmures, et tous ces yeux fixés sur moi, qui rajoutent à mon malaise. — Hummm, bien, Hummm, fait le maître, à présent joueuse numéro… 7 ! C’est Maëva ! Un assistant lui enlève les menottes, elle se lève pesamment, rappelez-vous, elle fait son quintal, la mémère. Elle se dirige vers le maestro, en roulant des hanches ! On dirait B.B. (la copine à Alfred). Après le spectacle auquel nous avons assisté, et qui laissera des traces chez moi, le comique de la situation reprend le dessus. Quelques sourires, puis quelques rires, et ce sont les applaudissements des aficionados. Encouragée, la monstro-plante ondule vers le maestro, en lui tendant les lèvres. Ah oui, vous n’y étiez pas, mais durant la séance passionnée, l’ardeur de son Laurent vis-à-vis de Monica lui a fait comprendre qu’elle ne pourrait jamais le posséder, qu’il ne serait jamais sa chose. Du coup, elle a décidé de jeter son dévolu sur le maître lui-même. Elle se rapproche dangereusement de ce dernier, les bras tendus, bras qui semblent terminés par des tentacules, enfin, ça y ressemble, la bouche en cœur, en émettant des borborygmes qui se veulent ...