1. Sex game


    Datte: 19/09/2017, Catégories: fh, grp, extracon, boitenuit, vengeance, jalousie, pénétratio, jeu, humour, extraconj, Partouze / Groupe

    ... sensuels. Tu verrais la tronche du maestro ! Il se recule précautionneusement et interpose la table entre lui et la chose. Qu’est-ce que tu crois, toi ? Qu’une vulgaire table va l’empêcher de s’emparer de l’objet de ses désirs ? Encore une fois elle fait ni une ni deux, prend son élan pour sauter par-dessus la table, s’élance… s’embronche les pieds contre le rebord de la table, perd l’équilibre. Mais emportée par son élan sumotesque, elle commence un looping incontrôlé, passe quand même par-dessus la table, la tête en bas, continue sa figure acrobatique… atterrit sur le pauvre maestro, et dans un barrissement de fureur, l’aplatit sur le tapis, ses énormes fesses ventousant la tête de sa victime. Stupeur, silence, puis quelques rires qui dégénèrent en une hilarité générale. Même les trois assistants se tapent le cul par terre. Laurent, dans son coin, ricane. Sacré mammouth, on ne se refait pas. C’est au tour du mari de s’inquiéter, il se précipite sur le couple et se jette sur son épouse légitime, en prenant sa main qu’il embrasse dans la foulée… « Ma bichounette d’amour, mon susucre », puis il s’aperçoit qu’il s’est trompé de main, qu’il a pris celle du maestro. Il la rejette prestement et en prend une autre, au hasard. C’est enfin une des mains de sa tendre, il recommence son mélo : — Ma bichounette d’amour… Les assistants, inquiets, vont prendre des nouvelles de leur patron, mais d’abord il faut le retrouver. Les fesses du monstre recouvrent totalement la tête du ...
    ... monsieur, l’empêchant de respirer… c’est la cata ! On se précipite tous sur la monstro-plante, on l’agrippe, mais elle se cramponne au tapis et se remet à barrir, de dépit cette fois. Elle était bien, la garce, une tête dans son c’… ses fesses. On finit par déplacer le mammouth. Le maestro est en piteux état. Il est tout bleu, la langue sortie de la bouche, on dirait un petit pénis, d’ailleurs on comprend mieux pourquoi cette cochonne ne voulait pas se lever. Le maestro a les yeux presque sortis des orbites, on ne l’entend plus respirer. On dit que l’amour fait des ravages, nous en avons la preuve ! Un gus se pointe : — Laissez-moi passer, je fais des études médicales ! Je m’interpose : — Popopop ! Quoi, comme études ?— J’avais commencé véto…— Et… ?— Euh… j’ai dû arrêter.— Pour quelle raison ? dis-je, l’œil soupçonneux.— Comment dire… J’avais fini par avoir un peu trop d’affinité avec les sujets de mes études.— Quoiii ?— Ça s’est su et je me suis fait virer. Mais je me suis soigné, faut pas croire ! J’ai demandé conseil à une psychothérapeute de mes amies, qui m’a convaincu que je pouvais mieux faire.— Hmmmmm. Tu sais que le mieux est souvent l’ennemi du bien !— Pas sur ce coup-là ! Je suis devenu croque-mort !— En effet ! C’est sympa !— Et je commence à beaucoup aimer mes patients…— Ne me dis pas que…— Siiii ! Et même, des fois, quand j’ai une petite faim… (il se penche vers moi et me souffle une encore plus pire atrocité à l’oreille). Heuuuuurgh ! De quoi dégoûter le lecteur, mais ...
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