1. Sex game


    Datte: 19/09/2017, Catégories: fh, grp, extracon, boitenuit, vengeance, jalousie, pénétratio, jeu, humour, extraconj, Partouze / Groupe

    ... intéresser le Lecter ! L’humanité est une source constante d’étonnement (et parfois de dégoût), mais je le laisse passer, en espérant qu’il ne va pas se mettre à becqueter le maestro. Je le surveille ! Il s’accroupit devant le quasi défunt et se met en devoir de lui ouvrir la braguette. La tuile, un homo-nécrophilus ! Puis il défait la ceinture et enlève le pantalon, qu’il garde à la main comme un trophée. L’assemblée a les yeux fixés sur la dépouille du maître et comme ce dernier n’a pas jugé bon d’enfiler un caleçon, il nous apparaît dans toute sa s… tupeur ! Grand silence… puis quelques rires… puis des commentaires techniques. Pour ceux du second rang, j’explique : le maître est équipé pour le combat rapproché. Sa rombière, qui doit être d’une jalousie féroce, l’a affublé d’une magnifique cage pénienne en acier galvanisé ! Et cadenassée, je vous prie ! Déjà, des connaisseurs se penchent sur l’équipement du maître, vérifient la bonne tenue de la cage, tirent un peu sur le cadenas, soupèsent le matériel. Au final, tous s’accordent à dire que le choix du matos est très professionnel. Pendant ce temps, le croque-mort admire le pantalon du maestro et l’enfile ! Pas le maestro, le pantalon ! — Ah, je me sens mieux quand même, je n’étais pas trop à l’aise rien qu’avec une serviette… qu’il récupère d’ailleurs et se noue sur la tête. Il monte sur la table et s’y assied en tailleur, façon Pierre Dac. Grandiose, l’on dirait le mahatma Gandhi lui-même, les lunettes en moins. ...
    ... Subjugué, un des assistants, certainement satyagrahaphile, vient se prosterner à ses pieds. Nous attendons tous un prêche… qui ne vient pas, tant pis. L’assistant se relève, déçu et savate le mahatma, ce qui chez les hindous, comme tout le monde le sait, est une marque de profond respect. Le mahatma apprécie moyennement le geste. Craignant qu’il y ait d’autres adeptes dans la salle, l’enturbanné redescend fissa de la table, mais reste sur ses gardes. Il en jette l’artiste, seulement il a les jambes plus longues que celles du maestro et le bas du pantalon lui arrive à mi-mollets, de plus sa corpulence ne lui a pas permis de faire rentrer l’intégralité de son service trois pièces dans le pantalon. Une bourse sort entre deux boutons de braguette, on dirait qu’il a une descente d’organes. Il avise un miroir dans le fond de la salle et décide de vérifier sa mise. Il s’en approche, prend des poses, tourne sur lui-même, virevolte, nous voit, lève son pouce pour nous faire part de sa satisfaction. Puis il se rappelle qu’il est aussi croque-mort et, le professionnalisme reprenant le dessus, il revient vers nous, se penche au-dessus du gisant, lui prend un pied et mord cruellement le gros orteil. Hurlement du macchabée… Quelle soirée mes amis, du Zola ! Disons du cuir, pour faire plaisir à tout le monde ! Deux assistants soulèvent le corps et le déposent tel quel sur la table basse. Tout le monde se concerte pour décider de la meilleure chose à faire. La direction de l’établissement nous fait ...
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