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Reconversion
Datte: 23/01/2020, Catégories: Humour, Mature, Première fois
... l'ouvrage.Appuyée contre son épaule, je le laissais m'enlacer puis avec son autremain pétrir peu à peu mes fesses. Il me susurrait à présent desinsanités à l’oreille. Le porc à certaines heures se lâche. Je fus àpeine étonnée que nos bouches et langues se mêlèrent. Au contraire d'enéprouver répugnance je fus sur le coup envahie d'un irrépressible désird'être baisée. Devais-je cela à l'alcool qui libérait ainsi le fondsecret et inavouable de ma lubricité ? J'avais les derniers temps eusoupçon de la progression d'un vice. Je me détournais lorsque je voyaisdes couples s'embrasser ou devinais en une voiture quelque coït. J'enétais plus fascinée que révulsée. Cette fois je pouvais être l'objetd'une sauterie.Ployant ma nuque je compris que monsieur requérait une pipe dans lavoiture. Je m'exécutais. J'avais toujours était malhabile dansl'exercice. Ce soir-là je ne fus pas peu surpris de mon goût à cela etde ma dextérité. Où avais-je appris et mûri pour un si patent résultat ?Je savourais de longues minutes cette queue dont je découvrais lecharme. En fait j’avais eu un rapport contraint, puritain avec la chose.J'avais perdu ma vie. Je compris l'urgence de ratt****r ce temps perdu.Lhomme triomphait. Je l'entends encore s'exclamer : "O Dieu, ma salopetu cachais bien ton jeu avec tes airs de pas y toucher". Il est vrai quej’avais toujours affecté auprès des hommes un air de froid et de dédain.Je fis reluire son gland sous ma langue.Je ne vis pas d’inconvénient à ce qu'il vint chez ...
... moi. Je lui expliquaisque le fils était chez ma sœur et que mon lit nous recueillerait tousles deux. Ce fut l'orgie. Le type était brutal. Il m'avoua par la suitesa familiarité avec les prostituées et qu'il aimait que ce fut hard etcochon. Vu les prémices il se crut autorisé à faire de même. Moi quirenâclait à la sodomie je dus subir ce joug. Peu préparée à ce genred'affront j'eus mal durant deux jours. Cependant peu après que son sexese fut frayé un chemin dans l'orifice, j’atteins à une jouissanceinconnue et formidable. Je découvris le sens profond du terme insane :enculer. Nous baisâmes tard dans la nuit.Homme marié, sa femme fermait les yeux sur ses plaisirs du soir. Aucours de cette semaine et en l’absence du fils il vint trois fois en monlit. Le midi il me prenait sur son bureau. J'étais devenue folle de saqueue. Le godemiché m’était devenu odieux et insipide. Rien ne vaut levrai, le naturel. Au retour de mon fils je découvris le studio. Lagarçonnière en fait de monsieur. Il y consommait ses conquêtes ou autresprostituées. Au bout d'un mois j'eus raison de lui. Il se lassa. Sachantmes soucis de fric, il insistait pour que j’acceptas quelques billets.Un jour offusquée qu'il procéda ainsi après une séance, je jetais : "Enfait tu me rémunères comme une pute !"Au début interloqué, il éclata de rire. Il convint que son gestemachinal trahissait peut-être de cela. Je le pris mal. Ce fut notrepremière dispute. J'étais jalouse des autres aussi qu'ils baisaient. Jene concevais pas ...