1. Marie et le sculpteur aveugle (17)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Erotique,

    ... imagination fait que je me vois en face d’un vrai satyre... je me fais peur toute seule ; comme une gamine. « Marie... est-ce que... est-ce que tu pourrais donner un peu de « vie » à cette scène de mythologie érotique ? » Je comprends ce qu’il veut dire et comme pour lui, j’avance ma main sous les grosses bourses de... satyre de Lucien, les flatte, les soupèse... les titille un peu. Il se laisse faire et laisse échapper un long soupir... Je joue avec en les faisant se balancer. Son regard est ancré sur ma moule imberbe rebondie et offerte. Sa queue réagit au quart de tour, se gonfle et se redresse... Je la regarde prendre du volume et se tendre à l’extrême. C’est pour moi un moment toujours magique de voir l’effet que mes simples doigts peuvent faire sur un sexe d’homme. Robert ne débande pas, au contraire. Ce qu’il voit l’excite au plus haut point. « Superbe... continue Marie » fait-il d’une voix un peu rauque. J’effleure alors la verge tendue en faisant remonter lentement mes doigts depuis la racine du gourdin jusqu’au sommet. Mon « monstre » se crispe et la queue massive sursaute. Le frottement de mon avant-bras sur les poils de la fourrure de ses cuisses m’électrise. J’ai l’impression de branler un animal ! La vue de ma chatte imberbe et luisante juste sous son museau n’arrange rien. Son sexe se met à palpiter et à suinter. Je regarde le Satyre prendre vie et ses yeux brillants d’excitation s’illuminer. Je sens son souffle sur ma chatte ouverte et parfois sa ...
    ... barbichette crépue venir frotter dessus. Je tressaille et mes jus affluent. Robert s’active comme un fou et nous tourne autour, prenant un maximum de clichés. Sa grosse bite en forme de banane se balance d’une cuisse à l’autre et se redresse par à-coups en fonction des impulsions érotiques dont il s’abreuve avec une grande ferveur. Il est comme un adolescent qui découvre une scène de sexe pour la première fois. Sa voix de plus en plus rauque trahit son excitation qui est à son comble. « C’est ça, c’est ça... continue » J’englobe alors le mandrin du Satyre que je fais coulisser doucement entre mes doigts fins. ************************************************************************** A L’HÔTEL Marie est totalement immergée dans son récit et, inconsciemment, les yeux toujours fermés, va jusqu’à miner les gestes sous mon regard de plus en plus étonné mais concupiscent. Ses doigts miment carrément une masturbation ! Je suis scié. Son comportement à la fois innocent et provocateur me procure une soudaine poussée de sève que j’ai du mal à refréner. Je me demande alors si je peux contribuer aussi modestement qu’il soit permis, à augmenter son plaisir...à le concrétiser. Tandis qu’elle continue d’écarter et refermer alternativement et machinalement ses cuisses sans s’en rendre compte, je profite d’un mouvement d’ouverture pour avancer lentement ma jambe encore plus loin ; juste entre les siennes, à la limite de la toucher, sachant que le contact sera cette fois inévitable lorsqu’elle va les ...
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