1. Marie et le sculpteur aveugle (17)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Erotique,

    Instinctivement, je croise les bras pour cacher mes seins. Comme s’il ne les connaissait pas... comme si j’allais pouvoir lui cacher durant ce qui m’attend... Je me sens puérile et ridicule... Mais malgré tout ce que j’ai vécu depuis des semaines avec eux, je rougis encore comme une pucelle quand je le vois fixer ses yeux lubriques sur mon sexe glabre qui s’humidifie déjà. « Bon, Marie, allonge-toi comme ça. » Il me dirige et saisit ma taille pour me positionner dos collé sur son estrade ronde en appui sur mes épaules et bassin levé le plus haut possible. « Ouvre tes cuisses » Il fait tourner l’estrade sur roulettes et me tâte pour vérifier la bonne pose. — Bien, maintenant, Robert, amène-toi en t’agenouillant devant les jambes de Marie. Mets ta jambe droite à l’équerre et avance ton genou sous elle pour lui maintenir son bassin en l’air en la tenant par la taille. Ensuite tu te penches vers son sexe en écartant ses jambes qui restent en l’air comme sur le tableau de Picasso. Je suis presque tête en bas et ne sais quoi faire de mes jambes qui se balancent de chaque côté de Robert. Je pense à cette femme, Dora, et du pied qu’elle a dû prendre à poser ainsi. — Très bien ; maintenant, ne bouge pas frangin, je vais te coiffer de la tête de taureau Le Prof avance à tâtons et plante la grosse tête cornée sur celle de son frère. Il inspecte nos corps avec mes mains, fait le tour, appréhende les volumes, les formes, puis : « Parfait ! » La grosse tête du Minotaure me touche ...
    ... l’intérieur des cuisses et son museau est pratiquement contre mon sexe ouvert... Je ne peux pas voir le regard de Robert, mais seulement celui de la bête qui me fixe l’entrecuisse. Je tressaille de l’émotion incroyable qui m’envahit. ********************************************************************** A L’HÔTEL Marie est en sueur et machinalement, déboutonne un peu plus son corsage pour s’essuyer le cou et les épaules avec un mouchoir. En passant sa main sous la chemise, son épaule nue m’apparaît distinctement ainsi que son soutien-gorge et ce lent strip-tease ne fait qu’augmenter mon désir. Elle ferme toujours les yeux pour mieux se concentrer et revivre cette scène intense qui semble la transcender encore aujourd’hui. Ses cuisses ne cessent de se coller et de se frotter imperceptiblement l’une sur l’autre, puis de s’entrouvrir à nouveau... Cela fait deux heures qu’elle parle pratiquement sans discontinuer. Son récit, sa beauté voluptueuse, sa tenue débraillée et son attitude d’un érotisme naïf si déconcertant m’excitent de plus en plus. Je décroise mes jambes à mon tour et prends le risque d’avancer une jambe entre les siennes, sans la toucher et la laisse là... immobile, espérant un contact mais le craignant aussi ; elle pourrait se braquer et tout stopper... ********************************************************************** Lucien prépare alors une énorme masse de glaise et commence à dégrossir en faisant des allers-retours entre sa sculpture et nous. Le Prof, comme aux ...
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