1. Le baume de l'âme (3)


    Datte: 24/01/2020, Catégories: Divers,

    ... saison. Mais vous êtes comme moi vosgienne et vous le savez mieux que quiconque. Tout en discutant l’homme avait ouvert la porte de la cuisine. Il s’effaçait pour laisser pénétrer Marjorie dans la pièce fraîche. — Tenez ! Je vous sers un verre et je vais me changer. — C’est bon allez d’abord vous sécher et nous boirons ensuite, je n’ai pas une soif aussi impérative. — Merci ! Ça ne sera pas bien long. Yann était déjà devant une autre porte. Celle de sa salle de bain sans doute. Il n’avait pas même pris la peine de refermer derrière lui. Une seconde plus tard, un bruit d’eau parvenait à la brune qui attendait debout dans la cuisine. En faisant un pas vers la porte-fenêtre qui donnait sur le verger, elle passa devant cette ouverture et stoppa net son mouvement. L’homme entièrement nu se frictionnait le torse vigoureusement. Tout d’abord elle pensa qu’un ours était derrière la porte. Elle le voyait de profil et ses mains promenaient un gant de toilette sur ses cuisses. Il fit un demi-tour et son dos devint visible. Deux fesses aussi velues que le reste s’affichaient sans vergogne au regard de Marjorie. Lui ne se doutait-il de rien ? Avait-il sciemment laissé cet accès entrouvert ? Une fois encore le corps massif de Vosgien pivota d’un quart de tour. La brune avait une vue directe sur un sexe en semi-repos. Yann passait toujours son éponge savonneuse sur le bas de son ventre. Il astiquait sans ménagement la partie qui allait de la poitrine à cet entrejambe bien fourni. Il ne ...
    ... s’embrassait pas de préjugés malsains et elle le vit décalotter son sexe pour enduire de mousse un gland rose et… conséquent. Cette vision de cette chose, ramena à la surface de la brune une envie somnolente. Elle ressentit soudain comme une pulsion et faillit faire un pas vers… lui. Elle se ravisa juste au dernier moment, mais elle avait aussi sursauté et quand elle releva les yeux, ils croisèrent ceux de Yann. Elle ne savait plus quelle attitude adopter. Comme une godiche, elle ne bougeait plus et vit que lui avait comme un sourire aux lèvres. Marjorie était dans une sorte de brouillard. Un court instant elle se demanda ce qu’elle faisait là ! Ses jambes étaient en coton, son cœur battait à tout rompre. Mais elle n’avait pas quitté les quinquets de l’homme, pas plus qu’il ne les avait baissés lui. Elle se rendit compte qu’il avait mis un pied hors de sa douche. Il avançait vers elle, ruisselant. Sa main venait d’attraper la sienne et elle ne réagissait pas, elle était comme tétanisée. — Viens ! Avance donc ! Elle était dans la salle de bain plutôt spartiate. Un lavabo, une douche qui continuait de couler. L’homme la pressa contre lui, et s’engouffra de nouveau sous le jet dégoulinant. Toute vêtue elle se retrouvait sous la pomme qui distillait toujours son eau tiède. Le le type entreprit de la dénuder là, sans aucune résistance de sa part. D’abord le corsage qui ruisselait. Puis la jupe entièrement trempée. Elle ne portait plus qu’un soutien-gorge et un string minuscule. Il ne ...