Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (51) : Olga et les routiers (3 : une nuit bien remplie).
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... j’explose, je tremble. Je m’écroule littéralement, repue, brisée par le plaisir, à la limite de la perte de connaissance. Avant, Arnaldo s’est soulagé copieusement dans mon cul, à grands jets. Philippe me récupère. J’étais particulièrement « arrangée » : le visage, les cheveux, les seins couverts de sperme, sans parler de ce qui coulait de ma chatte et de mon anus. Je devais ressembler à Messaline après une nuit de débauche à Suburre, dans les bas-fonds de Rome ! Philippe n’est pourtant pas rebuté. Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement, sous les applaudissements de mes amants d’un soir. • Je ne te dégoute pas mon chéri ? Tu as vu dans quel état je me suis mise ? Je dois sentir la putain. D’ailleurs, j’en suis une, je me suis comportée ainsi ce soir. • Non tu n’es pas une putain. Tu es ma femme et je t’aime. Je suis fier de toi, tu t’es surpassée ce soir. • Je t’aime, Philippe, tu me rends heureuse, tu sais ! • Les gars, vous avez de l’eau en quantité suffisante ? Nous avons encore plusieurs heures de route à faire. Je me lave grâce à l’eau dont disposent ces voyageurs bien organisés. Je suis à nouveau propre, présentable mais totalement épuisée, après avoir enchainé les orgasmes. Mes « hommes » se sont rafraîchis eux aussi. Ils sont heureux. Ils parlent de moi, ma connaissance de l’Italien, du Portugais, de l’Espagnol me permet de comprendre ce qu’ils disent. Ils éclatent de rire, ils font des signes, disent des mots comme baiser, sucer. Je suis assise dans ...
... l’herbe, sur une serviette, toujours totalement nue, en lotus, j’attends. Mes sept routiers se placent en cercle autour de moi. Très près, pour me sentir encore. J’aime être là, je me sens toujours convoitée. Marc traduit, la conversation tourne aux commentaires sur la soirée. Ils disent leur contentement d’avoir rencontré une femme comme moi, si gentille, si bonne avec eux. Ils ont aimé mon cul, ma chatte, ma bouche, mes seins, ma peau douce. Certains me caressent encore un peu, la main entre mes cuisses, j’ouvre, j’accueille...Je caresse les bites flasques, les ventres, leurs cuisses, passe la main sous les couilles. Je les flatte encore tendrement. Je renouvelle ma joie d’avoir goûté leurs bites et baisé avec eux. J’ai aimé leur foutre. Ils m’applaudissent et m’embrassent. Je les embrasse tous dans le cou, un bisou sur les lèvres, un petit coup de langue. Je dis le merveilleux plaisir que j’ai eu, ce cadeau de mon mari pour eux et pour moi. Philippe est applaudi. C’est pour lui que j’ai tout accepté ce soir-là. Je sais que, lui aussi, mon mari candauliste adoré, a apprécié tout particulièrement cette nuit qu’il m’a offerte. Je suis heureuse qu’à aucun moment il ne lui a été manqué de respect ce soir-là. Personne ne s’est permis le moindre jugement à son encontre. C’est assez rare pour être souligné. Je me lève et je pars nue vers la voiture… • Bye, mes gentils cochons, bon souvenir ! Nous repartons pour un trajet de nuit. Je fais le voyage jusque chez nous entièrement nue, ...