La Course
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
couplus,
inconnu,
ascendant,
sauna,
campagne,
collection,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
jeu,
sm,
attache,
... sur la banquette, et l’attire vers moi à l’aide de la chaîne. Elle vient sur moi et j’attire son sexe sur ma bouche. Quelques coups de langue me font sentir qu’elle mouille. Elle vient sur mon sexe et s’empale dessus. Je lui indique le rythme mais c’est elle qui bouge le plus. Elle gémit de nouveau, comme au début de notre séance. Elle reste d’abord bien droite, puis je la serre contre mon corps. On s’embrasse. La chaîne de la laisse pend le long de nos deux corps à chaque mouvement. Je la retourne et la mets à quatre pattes sur la banquette, en mettant deux gros coussins sous son ventre. Elle sait ce que je veux, mais ne proteste pas. Doucement, je lèche sa rosette pour la stimuler. Elle gémit de plus en plus fort. J’attrape du gel lubrifiant et en pose sur son anus, en l’introduisant avec un doigt. Quelques coups de langue sur son sexe. Par mégarde, je perds mon préservatif. J’en attrape un autre. Elle tourne la tête et me regarde déchirer l’enveloppe. Son regard est plein de désir. Je l’enfile. — Caroline, cambre-toi et pousse un peu quand je me présente ! Elle se cambre. Je présente mon sexe sur son bouton d’or et je pousse lentement. Cela résiste, puis j’entre le gland d’un coup. Je pousse lentement. Elle laisse échapper de petit cris de plaisir : visiblement, elle prend aime aussi être dominée. Décidément, ce jeu est vraiment stimulant et rien n’est fini avant deux bonnes heures… Mes allées et ...
... venues dans son ventre sont de plus en plus rapides, et je peux caresser la totalité de son dos. Elle reste bien cambrée. Je titille ses tétons. Sa respiration se fait saccadée. En gardant la position, je lui fais relever le buste, grâce à la laisse et à son collier : je la serre contre mon torse, en continuant à la sodomiser. J’explose en elle dans cette position. Nous sommes tous les deux en sueur. Nous nous embrassons de longues minutes dans cette position. Cette fille est vraiment un bon coup. Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel pied ! Sans un mot, je récupère mes habits : pantalon, boxer, chaussures, ainsi que mes trophées, et je quitte le « donjon ». Rapidement, je sors de la grange par la porte de devant. Merde ! Quel con… Devant la porte, me regardent Henri et Cathy, avec un grand sourire tous les deux. Cathy rompt le silence : — Tu m’as l’air pressé, Laurent… Aurais-tu fait quelque chose de pas bien, dans la grange ?— Non, non, j’étais seul… J’ouvre ma cape et je peux voir, sur le visage de Cathy, la déception. — Eh bien, dit Henri, tu vas pouvoir nous donner ton pantalon et tes chaussures, tu seras plus à l’aise… Je remarque qu’eux n’ont plus que leur cape pour vêtement. Je leur passe leur gage et, après quelques échanges de politesse, nous repartons chacun de notre côté. Rien que de penser qu’ils pourraient tomber dans les bras revanchards de Caroline me fait bien rigoler.